1. Tango des ombres du désir


    Datte: 26/08/2019, Catégories: f, h, fhh, hh, copains, prost, nympho, taille, jardin, danser, fête, collection, amour, fdomine, revede, double, Partouze / Groupe fsodo, fantastiqu, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... d’années, petite et menue, avec une classe de reine et un tempérament de feu. Elle m’a donné rendez-vous dans un bistrot, puis nous sommes allés, non pas dans un de ces hôtels de passe sordides, mais dans un superbe trois étoiles avec un lit immense, où nous avions toute la nuit devant nous. Elle m’a transporté dans sa voiture. À la réception, elle a payé d’avance, en sortant de son sac à main une grosse liasse de billets. Je me souviens aussi l’avoir vu retirer discrètement son alliance : fantaisie de femme adultère gênée par son infidélité. Elle a dû en rêver longtemps… à moi la rude tâche de ne pas la décevoir ! Une fois dans la chambre, elle m’a demandé de me déshabiller complètement devant elle.
    
    Au début, j’ai trouvé gênant d’être nu devant une cliente habillée, comme si celle-ci m’avait acheté comme son esclave. On ne se débarrasse pas facilement du poids de plusieurs siècles d’une histoire douloureuse de domination entre les peuples. Sur le moment, j’ai cru qu’elle voulait m’humilier, et je m’apprêtais à lui rendre son argent avant de claquer la porte. Mais elle me souriait afin que je me sente à l’aise, et m’a offert un verre. J’ai fini par comprendre que la couleur de ma peau n’avait pas d’importance pour elle qui voulait seulement me contempler dans ma masculinité. Bien sûr, elle a écarquillé les yeux devant mon phallus dressé pour elle. Je ne donne pas le nombre de centimètres, mais vu la pointure des chaussures que je suis obligé d’acheter dans un magasin ...
    ... spécialisé dans les grandes tailles, vous vous doutez bien que je suis un peu hors-norme.
    
    Puis elle m’a demandé de la déshabiller, ce que j’ai fait. Sans aucun parfum artificiel, elle sentait merveilleusement bon l’odeur naturelle d’une femme qu’anime l’envie de s’accoupler, et lorsque j’ai commencé à agiter ma langue sur sa fleur féminine grande ouverte et déjà délicieusement humide de son miel intime, je me suis dit que j’appréciais vraiment cette activité. Elle m’enivrait de son odeur de femme mûre, bien plus que du whisky qu’elle venait de me servir. Appuyée sur ses avant-bras, jambes largement écartées, tout en souplesse, elle se laissait faire, impassible.
    
    La coprolalie soudaine de ma cliente, jusque-là au verbe impeccable, m’a arraché un sourire.
    
    Elle se tenait à genoux sur le lit, menton contre l’oreiller, la croupe relevée, impudiquement offerte. Les yeux fermés, elle mordait sa lèvre inférieure, prête à recevoir mon membre. J’ai tout d’abord glissé une phalange d’index lubrifié de salive dans l’orifice qui était bien fermé : aucun signe de relâchement du sphincter. La dame me semblait vierge de ce côté-là. Elle a sursauté à cette première pénétration, pourtant toute légère ; la suite allait être une toute autre affaire. Pour vouloir débuter avec un engin de mon gabarit, elle n’avait pas froid aux yeux. Pas de mièvrerie ni de demi-mesure : avec moi, ce sera soit merveilleux, soit traumatisant. À moi de faire en sorte qu’elle se retrouve dans le premier ...
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