Tango des ombres du désir
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
f,
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fdomine,
revede,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
fantastiqu,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... puis Jérôme… au bout d’un quart d’heure, nous étions au complet, à l’exception notable de celle que le dessin représentait,a priori toujours dans sa chambre en train de prendre une douche, à en croire les bruits de tuyauterie. Une odeur de stupre commençait à envahir la pièce. Le pyjama me gênait et me tenait trop chaud, alors, tant qu’à exposer mon corps, autant que ce soit complètement : je me suis mis déshabillé, et les autres m’ont imité, y compris la peu farouche Rachel, laissant de côté leur pudeur pour s’adonner à leur première masturbation communautaire à laquelle, une première pour moi, participait aussi une femme.
Pourtant, malgré l’ambiance sympathique, quelque chose est allé de travers : nous n’arrivions pas à jouir ! Aucun de nous ne parvenait à extraire de lui la moindre goutte de sperme, ni à se procurer l’orgasme. Agacée, pressée d’en finir, Rachel est allée chercher son grand vibromasseur, celui qui se branche sur le secteur et pour lequel elle a besoin d’une rallonge. Le bourdonnement de son engin de plaisir réglé à la puissance maximum s’est mêlé au bruit caractéristique de la main qui parcourt le phallus multiplié par onze. Bref, un sacré bordel, mais, même après une demi-heure, impossible de conclure. Incompréhensible : concentrés sur le dessin qui nous hypnotisait, nous étions devenus impuissants ou, dans le cas féminin de ma charmante voisine, absolument frigide.
Et puis, elle est apparue subitement. Par où était-elle passée : mystère. Même ceux ...
... qui étaient en face de la seule porte de la salle ne l’ont pas vue arriver. J’ai ce souvenir précis, photographique, ancré profondément dans ma mémoire : Électre vêtue d’une longue robe noire au dos nu, au tissu fin couvrant entièrement ses jambes, et décorée autour de son long cou ambré par le soleil du Sud d’un grand colifichet de perles bleu azur. Coiffée, mais naturelle – elle ne se maquillait jamais. Plus envoûtante que jamais, à la féminité plus terrible qu’il nous soit donné jusque-là d’apercevoir. Sac à main en bandoulière, fraîche et légère, elle s’apprêtait à se rendre à la messe du dimanche matin, comme à son habitude. Elle marchait toujours comme si elle ne pesait rien, comme si elle était portée par la brise d’automne.
Paisible, immobile, elle nous regardait en souriant. La scène qui s’étalait sous ses yeux ne semblait pas la choquer ; par contre, nous étions un peu gênés qu’elle nous voie ainsi, craignant qu’elle nous considère comme des pervers exhibitionnistes. Chacun, tour à tour, a croisé son regard et aussitôt joui. Elle n’a même pas eu besoin de nous toucher pour arriver à ce résultat. De tous côtés, la semence jaillissait en flots dans un brouhaha de râles orgasmiques. Il y avait du sperme partout, un véritable foutoir. Dans l’orgie masturbatoire, Rachel nous aspergeait de ses gouttes de mouille toute chaude qu’elle envoyait, en agitant frénétiquement sa croupe, dans toutes les directions. D’un missile spermatique, j’ai même réussi à décorer le plafond, ...