Tango des ombres du désir
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
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Partouze / Groupe
fsodo,
fantastiqu,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... dans un soubresaut époustouflant. Mon gland était devenu comme les tisons de la cheminée qui finissaient de s’éteindre. En jouissant à s’en déchirer le ventre, ma voisine hurlait comme si on voulait l’égorger. Nous étions tous en rut : la folie sexuelle s’était brutalement emparée de nous. Il m’a fallu toute ma volonté pour me retenir de me jeter sur Électre comme une bête sauvage. D’autres, comme Thomas et Lucas, n’y sont pas parvenus, mais ils sont restés figés, à genoux, à cinquante centimètres de la belle dont les sandales étaient maculées de sève masculine. Elle les a regardés, sans rien dire, mais ils ont compris sa demande. Ils se sont penchés en avant et ont léché leur foutre jusqu’à la dernière goutte entre les orteils, sans manifester de signe de dégoût.
L’instant d’après, c’est-à-dire une fois que nous avions repris notre pleine conscience, elle a disparu. Aucun de nous ne l’a réellement vue partir, pas plus que nous n’avions remarqué son arrivée. À croire qu’elle n’a été qu’un mirage. J’ai regardé par la fenêtre et l’ai aperçue de dos, avec sa robe noire et son collier bleu, marchant en direction de l’église. Elle s’est retournée et nos regards se sont croisés.
Nous étions tous comme des boxeurs sonnés après un match perdu, pantelants et ruisselants de sueur. Les gars avaient des verges encore à moitié turgescentes où perlaient encore quelques gouttes de sperme. Chacun, dans sa tête, s’était fait un petit film dans lequel il ou elle croyait étreindre la ...
... belle qui se déshabillait sans fin et n’en finissait pas d’ôter son corsage après s’être laissée peloter. Le dessin, toujours posé en évidence sur la table, n’en finissait pas de nous provoquer.
Après une bonne douche fraîche permettant de nous remettre les idées en place, j’étais, comme les autres, affamé, mais avant même de pouvoir songer à prendre le petit déjeuner, il nous a fallu nettoyer les abondantes traces de l’étrange partie fine qui venait d’avoir lieu. Éponges et balais en mains, serpillières en action, nous étions silencieux, pensifs, encore sous le feu de la plénitude inquiète de nos orgasmes.
Comme à mon habitude, je suis ensuite allé courir une heure, accompagné de Rafael. Comme lui, j’étais en forme, et pas du tout rassasié sur le plan du désir sexuel. Rien d’exceptionnel : généralement, il me faut deux ou trois éjaculations par jour avant que ma virilité me laisse un peu en paix, masturbations ou acte sexuel. Pour nous vider la tête et trouver un semblant de paix, nous avons forcé le rythme plus qu’à la accoutumée, avant de revenir essoufflés et transpirants.
Au retour, Électre n’était pas encore rentrée. Par contre, Rachel nous attendait. Elle nous a invités dans sa chambre, Rafael et moi, sans même nous laisser le temps de rincer la sueur de notre effort. Elle nous a dit qu’elle adorait l’odeur de la transpiration masculine, et sur ce plan, elle était servie en abondance.
La vue de nos verges, au cours de l’épisode de la masturbation collective, ...