1. Les nuits de Paris


    Datte: 23/08/2019, Catégories: fh, ff, 2couples, intermast, Oral pénétratio, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... ses reins, emporté par l’agréable sensation que me donne la chaleur de sa fente. Puis, sentant une poussée de plaisir, je lui soulève les reins d’un coup et la pénètre jusqu’au fond, l’entraînant avec moi dans un petit mouvement de rotation. Je me laisse guider par les délices de la sensation, lui imprimant des mouvements lents et profonds, puis je me déverse en elle d’un long jet interminable. Lorsque je me calme, je m’effondre sur elle. Amani ferme les yeux, pousse de grands soupirs, et son corps frissonne plusieurs fois de suite en petits spasmes. En ce moment, Ali et Emna, enlacés sur le canapé d’en face et qui nous regardaient depuis un moment, nous applaudissent chaudement.
    
    — On dirait que vous êtes faits l’un pour l’autre, nous dit Emna.
    
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    Nous avons repris une autre fois notre partie à quatre, puis Amani s’est mise à me rappeler toutes les heures. On s’est vus ensemble quelques fois et nous avons fait l’amour dans le studio que je loue avec Ali. Mais comme pour Fatma, je sentais qu’il me fallait couper rapidement la relation avant qu’elle ne se complique et devienne un lourd fardeau à porter. Il se trouve également qu’Ali voulait arrêter avec Emna, qui demandait un engagement fort de sa part et une promesse de mariage. Mais les deux filles se sont montrées coriaces, et elles sont venues ensemble faire un scandale dans le salon de thé dans lequel nous travaillons. Si Zoubir les avait alors menacées d’appeler la police si elles continuaient à ...
    ... nous déranger devant la clientèle. Amani m’a fait vraiment pitié ; elle était en pleurs et paraissait très fatiguée.
    
    Le lendemain, en revenant au salon de thé, Si Zoubir m’a demandé en aparté. Assis derrière la caisse, il joue avec un stylo à bille en se donnant des petits coups sur la main. Derrière lui est accrochée une petite lithographie dans une cadre en argent. C’est la première fois que je fais attention à ce petit dessin représentant une voiture de collection. Il y a pourtant plein de posters de voitures de luxe qui jalonnent ici et là les murs du salon, mais ce petit tableau, de loin plus beau que tous les autres, m’avait échappé.
    
    — Oui, Si Zoubir ?
    — Avant tout, je veux te dire que tu fais du bon boulot. Tous les clients trouvent que tu fais d’excellents narguilés ; je te dis vraiment bravo !
    — Merci, Si Zoubir ; je fais mon boulot.
    — C’est vrai ! Mais j’en ai connus, des vrais salauds dans ce boulot ; mais toi, j’ai confiance en toi ! Je sais que tu es vraiment un bon gars et que tu ne te laisses pas manipuler par quelques truands. Tu peux me considérer comme ton père et ton grand frère. Je suis là pour t’aider.
    
    Il fait de grands gestes des bras, me signifiant qu’il me tient au chaud dans son cœur. J’acquiesce de la tête, étonné par la tournure emphatique de son discours, et ayant une crainte qu’il n’ait quelques intentions de nuisance. On ne sait jamais avec les patrons. Il replace son stylo à côté de la caisse et me regarde profondément.
    
    — Il y a une ...