Les nuits de Paris
Datte: 23/08/2019,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
intermast,
Oral
pénétratio,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... arrive avec les couscous et les salades dans des grandes assiettes creuses. Il nous sert un rouge qu’il me fait goûter et que je trouve médiocre, légèrement bouchonné, tout en acquiesçant machinalement de la tête.
Je me débats avec le couteau et la fourchette en tentant de ne pas ajouter des couleurs à mon tee-shirt et en suivant des yeux les seins d’Amani qui parle maintenant du patron de la parfumerie en mâchant sa salade.
— C’est un vieux de plus de soixante-dix ans mais qui a toujours un regard poignant ; lorsqu’il regarde une fille, on a l’impression qu’il la déshabille et qu’il voit ce qu’elle a en dessous !
— Il te veut aussi, lui dis-je.
— Non. Apparemment, il n’y a qu’Emna qui l’intéresse.
Cela excite tout le monde et nous en rigolons encore.
Après le repas, nous allons dans un salon de thé où je prends un narguilé bien parfumé, puis nous prenons un taxi ensemble et nous allons chez les filles terminer la soirée. Passant par une supérette, nous avons acheté du whisky, du gin, du Coca-Cola et des fruits secs. Une fois installés à l’intérieur d’un petit salon avec deux canapés en cuir défraîchi, Amani nous met un disque d’Oum Kalthoum et Emna nous sert à boire.
Une heure après, les bouteilles sont presque vides et le cendrier est plein. Il fait chaud, la fenêtre est ouverte, l’air est absent. Emna et Ali commencent à s’embrasser. D’un geste de la main, je demande à Amani de s’asseoir sur mes genoux. Elle vient aussitôt, complètement saoule, ...
... manquant de tomber. Je l’embrasse sur la bouche et commence à la déshabiller.
— Qu’est-ce que tu fais ? me dit-elle, en regardant Ali et Emna qui se bécotent sur le canapé.
Les filles échangent un petit signe de la tête.
— Rien, chérie ; laisse-toi aller, je lui chuchote à l’oreille alors que j’ai les mains sur ses petits seins par-dessus sa robe.
Amani regarde Emna qui glisse vers le bas les bretelles de sa robe et laisse tomber ses seins entre les mains d’Ali. Elle me paraît encore hésitante ; je lui sers à boire un autre verre, puis je le reprends sur mes genoux et lui embrasse le cou. Elle ne fait aucune résistance lorsque je lui dégrafe la robe, puis je lui triture les seins tandis qu’elle mouille les lèvres dans son verre, puis elle le vide entièrement.
— Tu aimes ça, salope ! lui dis-je en pinçant ses tétons.
Elle commence à s’abandonner.
— Oui, chéri… Oui.
Soudain, elle se met à onduler du corps et à presser une main sur ma braguette, alors que sur le canapé en face le sexe d’Ali est dans la bouche d’Emna.
— Attends, chérie, dis-je à Amani, on va changer de position.
Je me lève, la mets complètement nue et l’amène à côté d’Emna qui s’évertue à sucer Ali sur le canapé, les jambes tendues en arrière et la chatte poilue suspendue en l’air.
— Vas-y, lèche-la, dis-je à Amani en pointant le con rebondi d’Emna.
— Mais, dit-elle en riant, tu es fou, chéri.
— Allez, tu ne trouves pas qu’elle est séduisante ?
— Non, chéri, s’il te plaît, dit-elle ...