1. Une année pas comme les autres


    Datte: 20/08/2019, Catégories: fh, hplusag, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... fragilité. Une manière de se protéger et de s’affirmer qui allait se résorber naturellement avec le temps. Aussi je reprochais souvent à Émilie sa sévérité envers sa fille, et l’encourageais à plus de modération.
    
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    Six mois après, j’emmène Émilie et Sabine en camping-car en Provence, pas loin de Saint-Paul de Vence. Nous passons la première journée tranquille à profiter de la nature généreuse. Le lendemain nous allons à la plage qui n’est pas bien loin. Sabine se met rapidement en maillot une pièce. Sa beauté éclate sous le soleil brillant, on aurait dit une statuette de bronze projetant autour d’elle une aura de lumière et de grâce. Toute volonté que je puisse amasser ne peut pas m’empêcher d’admirer tant de beauté déroulée juste devant moi. Du coin de l’œil je l’observe enduire son corps de crème, passer ses mains sur ses jambes effilées, contourner les courbes de ses seins, s’attarder sur ses petits nichons si sensibles. Lorsqu’Émilie s’éloigne, elle se retourne, s’aplatit sur son ventre, et me demande de graisser son dos. Je m’exécute en frissonnant. Je vide un brin de crème sur son dos, et je l’étale doucement par ma main entre ses omoplates, puis ma main descend le long de son échine, fait un tour sur ses flancs, arrive à sa culotte tout en bas. D’un petit geste du doigt, elle me demande d’aller plus loin. Je répands alors la crème sur ses fesses, je m’attarde dans le sillon, émoustillé par l’agréable sensation que me donne le contact de sa peau ...
    ... fraîche et délicate. Lorsque je vois Émilie revenir vers nous, je mets ma casquette et je vais faire un petit jogging pieds dans l’eau.
    
    En revenant, Sabine est déjà partie. Je me sens soulagé.
    
    Après quelques jours, Sabine a noué quelques amitiés dans le camping, des jeunes de son âge, elle passe ses nuits en boîte alors que je reste avec Émilie dans notre cabine. C’est pratique pour nous, pour s’envoyer tranquillement en l’air. Il me semble alors que maman et fille se sont réconciliées, jusqu’au jour où Sabine nous présente Bernard, un routier de plus de cinquante ans qui passe ses vacances dans le camping. Il a l’air d’un vrai bandit, avec des muscles en acier, un crâne rasé, des joues râpeuses. On dirait un légionnaire de chez Bob Denard. C’en est trop pour Émilie qui, le soir même, donne à Sabine une paire de claques, tout en silence. Tout de suite après, Sabine nous plaque avec Bernard en jurant de ne plus nous revoir. Tout ce je peux faire, c’est noter l’immatriculation du camion de Bernard alors qu’il quitte le camping en embarquant Sabine à son côté.
    
    Un mois après, Sabine vient à la maison pour ramasser ses affaires. Émilie est au boulot, et je me trouve seul ce jour-là. Je la regarde faire en silence. Elle porte une petite jupe noire en cuir, un corsage blanc, le ventre nu. Elle a plusieurs piercings autour de son nombril, un autre sur son nez. Avant de partir, elle se retourne vers moi.
    
    — Je t’aime pourtant bien, me dit-elle, en allumant une cigarette.
    — Moi ...
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