Une année pas comme les autres
Datte: 20/08/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... overdose. Je suis allé la voir à la clinique et j’ai eu du mal à la reconnaître. Elle m’a semblé avoir pris trente ans d’un coup. Après sa cure, Thomas est revenu vivre avec elle pour l’aider à se reprendre. Mais ce n’est pas si simple.
Début décembre, c’est Sabine qui revient à la maison. Je me trouve bien embarrassé, après ce qui s’est passé entre nous le soir de notre rencontre dans le parc. Mais elle semble assagie, et ses rapports avec sa mère se sont considérablement améliorés durant ces quelques semaines. Thomas est venu nous rendre visite plusieurs fois et la santé de Françoise s’est bien améliorée. Je passe ainsi des fêtes de fin d’année tranquilles.
Mais début janvier, les choses basculent. Un matin que je me lève à dix heures, comme à mon habitude, je trouve Sabine au bord du lit. Elle est belle, avec un éclat de jeunesse et une fraîcheur de printemps. Elle a mis des sous-vêtements de guipure, et des collants noirs, comme le jour où nous nous sommes croisés dans le petit parc.
— Dis, tu n’as pas envie de vivre avec moi ? dit-elle d’un coup, avec une assurance inhabituelle.
— Moi ?
— Hmmm !
— Pourquoi tu me demandes ça ?
Elle écarquille les yeux, puis allume une cigarette.
— Comme ça !
— Tu sais bien que non, nous ne sommes pas du même âge !
— Et pourtant, tu as couché avec ...
... moi.
— J’n’aurais certainement pas dû !
— Au fond, dit-elle avec une étonnante lucidité, je me demandais si c’était possible, et puis ce serait pas mal, on se prend bien le pied ensemble, non ?
— Écoute, franchement, je ne veux pas gâcher ta vie, ni celle de ta maman.
— Ah ?
— Oui, il y a des limites à tout.
Elle éteint sa cigarette au fond d’un cendrier sur la table de chevet d’Émilie, puis allume une autre.
— De toutes les façons, je vais quitter la maison, je ne peux plus vivre avec elle.
— Ce ne serait pas trop raisonnable.
— Bof !
— Il faut au moins terminer tes études.
— Je pense que je vais les arrêter, ça ne sert à rien.
— Ce serait bien dommage.
— Ok, je continue… mais tu me laisses faire !
Sa main était déjà sur mon pyjama. Elle sort mon sexe, qui dort.
— Pas bien motivé, à ce que je vois.
Je reste silencieux. Elle frotte mon sexe avec une main, puis le met dans sa bouche, une minute après il est bien redressé.
— T’as vu le travail, me dit-elle avec un clin d’œil.
— Effectivement ! je lui réponds du bout des lèvres.
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Nous avons fait l’amour encore quelques fois, puis un jour elle disparaît.
Elle refait surface quelques semaines après, accompagnée d’un jeune avec une cravate. Il est informaticien et semble perdu dans son amour. C’est mon fils, Thomas.