1. D'une salopette Zara au Red District


    Datte: 18/03/2024, Catégories: Transexuels Vos histoires Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... J’ai l’impression que c’est à contre cœur que tu acceptes. Il faut que tu acceptes entièrement, que tout ton être, ton cœur, ton esprit, ton âme et ton corps, que tous acceptent cela. Alors, réfléchis bien, acceptes-tu ?
    -            …oui, j’accepte, (dis-je machinalement).
    -          Bon, c’est très bien. Mais je dois te laisser réfléchir à cela, tu vas passer cette nuit en ne pensant qu’à cela : je veux ton bien et je t’aime. Entendu ?
    -          … oui, j’ai compris
    -          Comprendre c’est bien, mais ce qu’il te faut c’est accepter. Parce que si je veux ton bien et si je t’aime, mais si tu ne l’acceptes pas, où iras-tu ? Que vas-tu devenir ? Il faut que chaque cellule, chaque atome de ton corps l’accepte.
    Il me dit cela en me caressant la tête, affectueusement. Il se leva et sortit.
    Si on n’a pour toute nourriture que de l’eau, on s’allège inévitablement. Déjà que j’étais pas lourd, là, j’étais en train de devenir très mince. J’accepte, j’accepte… il en a de bonnes lui. Avec mon corps vide de nourriture, un peu condensé, j’avais l’impression de développer mes sens. Il fallait que je fasse de l’exercice. Allongé sur le dos, je levai les talons pour les abdos. Ensuite je me levai et comptai cent flexions. Presque toute la nuit, j’ai fait travailler mes muscles, j’ai fait des étirements, autant que mes mains menottées me le permettaient. Je n’ai pas du dormir plus de trois heures cette nuit-là, et au lieu d’être réveillé par le jour, c’est Gaël qui m’a réveillé. Il ...
    ... avait sous le bras un travertin. Physiquement, je me sentais très bien.
    -          Allonge-toi sur le ventre. Lève les fesses
    Je m’exécutai. Il glissa le travertin sous mon aine. J’étais dans une position un peu obscène, les fesses surélevées par le travertin. Il déboutonna l’entrejambe du harnais en cuir qui me serrait depuis plusieurs jours et sortit un objet de mon anus dans un bruit de succion. Je me sentis extrêmement soulagé. Il m’enduit l’anus d’une pommade ou d’un gel, probablement aussi pour me soulager, pensai-je. J’entendis ensuite des bruits de vêtements et tentai de regarder ce qu’il faisait. Il se déshabillait. Il monta sur le lit et s’approcha de moi comme s’il allait s’allonger sur moi. Il murmura à mon oreille « je veux ton bien et je t’aime… l’acceptes-tu ? ». Je pris une longue inspiration, et répondis dans un souffle « oui, je l’accepte » mais je dois dire qu’à ce moment-là, je n’acceptais rien. Il me mit une main sur la nuque et l’autre lui servit à guider son membre, qu’il m’enfila sans peine car j’étais « préparé » par un objet en lieu et place depuis plusieurs jours. Il commença des allers et retours qui me semblèrent durer une éternité. Pour sûr, « il m’aimait » à sa manière. Je n’acceptais pas ce qu’il me faisait subir, mais il m’aimait, et ce fait, je devais l’accepter car c’était une certaine évidence. Il s’aidait d’un bras pour tenir en équilibre et de sa main libre, il passait sous moi et me caressait. Il faut dire qu’avec mon corps tout mince ...
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