Éloïse
Datte: 15/08/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... épaules sont assez larges, autant que son bassin, un torse court et une taille bien marquée, un long cou gracile et de longs fuseaux tant pour les cuisses que pour les jambes. Ses seins sont petits, certes, mais tellement drus, durs et sensibles. Je tripote, je suçote. Son ventre est si plat que je vois un léger gonflement à l’emplacement de ma queue. C’est très excitant de se voir ainsi « dans une femme ». Ses jambes autour de mon cou, elle prend un pilonnage de tout mon poids. Puis je la bascule sur le côté, une cuisse entre les miennes et l’autre repliée. Ainsi j’ai accès à tout et je ne me prive de rien. Son clitoris, ses tétons, son petit trou de balle, tout y passe. Elle rend les armes et part en tétanie. Je ne l’entends pas ainsi. Allez, à quatre pattes maintenant, et le tout sans déjanter. C’est parti pour le grand ramonage en levrette. J’enroule mon poignet autour de sa tignasse rousse pour la faire cambrer et la tirer contre moi. Ah tu voulais du sexe ? Eh bien prends ! Et je passe ma rage en lui claquant le baigneur jusqu’à ce qu’il soit rouge vif. Elle crie, elle gémit, elle demande grâce.
— Arrête, je t’en supplie, j’en peux plus…
— Fallait pas commencer, fallait pas me chercher. Maintenant tu assumes.
Je commence à avoir faim, moi, et surtout envie de café. J’ai horreur de démarrer à froid comme ça. Allez, on va abréger. J’empoigne ses hanches et je lance le sprint final. Elle braille :
— Oh… Oh putain… Ah… Doucement…
Ses fesses percutent mon ventre ...
... avec de grands flocs, comme des quartiers de viande à Rungis. Je sens mes couilles battre sa vulve, sa petite chatte pistonnée émet des petits pets humides, elle s’écroule le visage sur le drap, je la cramponne et la tamponne encore plus fort, jusqu’à ce que l’artifice se déclenche dans mes reins, deux ou trois à coups d’une violence inouïe pour l’inonder de ma semence. Rassasié, je sors ma queue luisante d’un coup, elle aspire l’air car le vide soudain est encore plus violent et frustrant que le plein. Je la laisse retomber et vaque à mes occupations, douche et café. Je sors des croissants à cuire et les mets au four, et je fais couler une grande cafetière. Les parfums l’attirent, elle se pointe dans un peignoir trop grand, largement en vrac, les yeux bordés de reconnaissance.
— Putain qu’est-ce que tu m’as mis…
— La faute à qui ?
— J’assume et je ne regrette pas. Mais la vache, qu’est-ce que j’ai pris, peux même pas m’asseoir…
— Alors reste debout.
— Tu m’en veux ?
— Un peu oui… beaucoup, même.
— Pourquoi ? T’as pris ton pied aussi, non ?
— Oui, bien sûr. Mais au détriment de ma conscience.
— Laisse tomber. Moi j’ai joui trois fois, j’en reviens pas.
— Bon allez, prépare-toi, je te raccompagne.
— Quoi ? Ah ben non, pas déjà.
— Comment ça ?
— C’est week-end, on a tout le temps. J’en veux d’autre, moi.
— T’es sérieuse ?
— Très. Même si c’est pas sérieux, on s’en fout. Qui le saura ? Allez viens, on y retourne, s’te plaît…
— Après tout… Va prendre une douche ...