Éloïse
Datte: 15/08/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... que je pense à autre chose, quelque chose de pas bandant du tout. Tiens, la convention que je dois renégocier. Je me remémore les tableaux de calcul, les tarifs, j’aligne des chiffres, je fais du tableur mental. Tiens des images qui viennent, l’esprit qui vagabonde, rideau.
Je fais un rêve très agréable, un rêve érotique. Je suis sur une plage paradisiaque, couverte de filles canons, j’en drague une et on rentre à l’hôtel. Bizarre, c’est comme un chalet de montagne, tout est recouvert de lambris de bois et la superbe fille se donne à moi en me chevauchant furieusement, et quand elle s’écarte , je regarde un plafond que je connais, c’est chez moi. Oui, chez moi, j’ai les yeux ouverts, je suis donc réveillé, je vois les rayures lumineuses des volets au plafond, mais je sens toujours que mon sexe est dans un antre chaud. Je comprends soudain. La petite garce a trouvé mon bâton-pipi du matin à son goût, elle a la tête sur mon ventre et elle est en train de me sucer en me branlant et en me pétrissant les couilles. Mais c’est pas vrai ! Elle devrait pourtant être dessaoulée. Je continue de ne faire semblant de rien, mais au bout d’un moment, ben… c’est que c’est rudement bon ! Comment résister à une turlute de première classe ? Dans peu de temps, je vais tout lâcher dans sa gorge. Je grogne désagréablement et je me retourne sur le côté, la laissant en plan au milieu du lit.
— Ben quoi ? On n’aimait pas ça ? Un petit cadeau du matin… Vilain grognon !
Elle se dresse en ...
... soulevant la couette, me retourne sur le dos et avant que j’ai eu le temps de faire ouf, la voilà empalée à califourchon sur mon ventre.
— Aaahhh ! Putain, que c’est gros. Ça change des petits jeunes !
Elle dit ça ravie, radieuse de se sentir enfin remplie et d’avoir obtenue ce qu’elle voulait, comme une horrible enfant gâtée. Je suis en rogne. Contre elle mais contre moi aussi. J’aurais dû la virer cette nuit quand elle s’est glissée dans mon lit, ne pas faire le « dormeur du val ». Quoi faire maintenant qu’elle s’agite sur ma queue, ses tétons sous mon nez ? Ah tu en veux, ma cocotte, eh bien tu vas en avoir, tant pis pour toi. Je la couche sur moi et prends sa bouche sans prévenir, sans qu’elle ait pu faire une réserve d’air, et je la fouille de ma langue en la privant de respirer. Ma queue fait la machine à coudre. Elle mouille beaucoup, je sens sa liqueur couler sur mon entrecuisse, j’y humecte mon majeur et l’enfonce dans sa rosette. Elle grogne par le nez, gémit, elle a besoin d’air, je la garde encore un peu en apnée, elle est toute rouge. Quand je la libère enfin, elle aspire une pleine poitrine et exhale de grands « Ahhh ! ». Elle essaye de se redresser, je la plaque contre moi et la retourne sur le dos, pesant sur elle de tout mon poids. Elle ne doit pas faire cinquante kilos, j’en ai trente de mieux.
En fait, elle est si légère que je la manipule comme une poupée de chiffons. Pourtant, je constate que c’est une fausse maigre. On ne voit pas ses côtes, ses ...