Éloïse
Datte: 15/08/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... franchement fan, en effet. Peut-être à cause d’expériences peu enthousiasmantes. Je trouve l’animal gros, un peu caractériel et faisant rarement ce que je lui demande. En plus, ça me donne mal aux fesses et au dos.
— Peut-être une mauvaise expérience, faudrait réessayer, tu sais c’est génial. Quand on fait corps avec l’animal, en parfaite symbiose, il devient le prolongement de toi, t’as l’impression d’être un centaure.
— Je n’en doute pas, mais bon, chacun son truc, je préfère les poissons rouges.
— T’en as même pas.
— Oui, voilà, les poissons rouges chez les autres.
Enfin elle rit un peu. Elle semble plus détendue, l’alcool aussi y est pour quelque chose. On se lève pour prendre le café au salon, elle perd l’équilibre et se raccroche à moi, plus ou moins volontairement, parce qu’elle m’enlace et cherche ma bouche.
— Eh là ! Tu es complètement saoule. Arrête ça tout de suite.
— Quoi ? J’te plais pas, c’est ça ? Pas assez de nichons, je suppose ?
— Il ne s’agit pas de ça, Éloïse, je suis trop vieux pour toi d’abord, ensuite tu es une de mes élèves et de surcroît la fille de mes amis. Donc c’est NON et sans espoir. Vu ?
— Arrête, toi aussi. Je suis majeure et vaccinée, libre. Laisse mes parents où ils sont, ça ne les regarde pas. Et en plus, si je démissionne je ne serai plus ton élève. J’ai envie de baiser, j’ai besoin de tendresse, d’un corps sur le mien. Comme on s’engueulait avec Julien, y a bien deux mois que j’ai pas fait l’amour et je suis en manque. C’est ...
... insupportable et ça aussi ça me rend malheureuse.
— Tu es bourrée et tu ne sais même plus ce que tu dis. Allez, un ou deux bons cafés, bien serrés et ça ira mieux. Tu serais capable de faire des bêtises et de dire ensuite que c’est de ma faute, que j’ai profité de la situation. Alors c’est définitivement NON.
Elle maugrée, cherche des arguments, je lui intime le silence et sers les cafés. Ensuite, direction la douche puis au lit. Elle en sort à poil, essaye encore d’y entrer quand j’y suis, elle fait une tentative d’assaut de ma chambre, je la reconduis manu militari dans la chambre d’amis dont je claque violemment la porte. Je bouquine quelques minutes et j’éteins. J’étais sur le point de m’endormir lorsqu’un léger bruit me ramène à la surface. La porte de ma chambre s’ouvre sur une faible clarté dans laquelle je distingue sa frêle silhouette se glisser. La petite garce a de la suite dans les idées, moi aussi. Je continue de respirer régulièrement et bruyamment comme un mec endormi. Elle se glisse sous la couette et vient poser sa tête sur mon épaule, sa main sur ma poitrine et sa cuisse en travers des miennes. Je ne bouge pas. Ce n’est qu’une gamine qui a besoin de son nounours pour dormir. Mais la douceur infinie de l’intérieur de sa cuisse sur la base de mon sexe me donne une gaule pas possible. Ses cheveux me chatouillent le cou et, très vite, le bras sur lequel elle est posée s’ankylose et picote. Je ne bouge surtout pas, je « dors ». Tu parles, va donc toi. Il faut ...