Éloïse
Datte: 15/08/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... souffre martyre sur cette foutue chaise inconfortable. Puis vient enfin mon tour.
— À vous, Monsieur sans rendez-vous, annonce-t-elle amèrement.
Facile à dire, mais au bout d’une heure et demie la mécanique est bien grippée. Je regarde le sol sans parvenir à me redresser. Le bas d’une blouse blanche apparaît et vient me porter secours. Ma mâchoire tombe.
— Éloïse ?
— Putain Jérôme, c’est pas vrai…
— Mais si c’est vrai, réponds-je tandis qu’elle me saute au cou. Oh doucement, je t’en supplie. Je ne suis pas là en visite de courtoisie…
— Oh excuse-moi. Viens vite que je te remette ça en place, si je peux…
Elle règle sa table à hauteur de mes fesses pour que je m’assoie sans difficulté puis me déshabille en riant :
— Comme autrefois, tu te souviens ?
— Comment aurais-je pu oublier. Tu n’es pas le genre de femme qui ne laisse pas de traces dans la mémoire d’un homme. Eh ! Tu poses tout ?
— Ben tiens, j’ai besoin aussi de tripoter tes fesses. Arf ! Toujours aussi bien équipé, mon Jérôme…
Travail sur la tête à plat dos, en passant ses mains sous le dos, sur le bassin en manœuvrant les jambes repliées, son souffle tiède sur mon service trois-pièces qui a de la mémoire aussi et se met à palpiter. Elle me demande de me retourner et, malgré mon appréhension, la manœuvre se passe sans souci. Ses doigts courent de nouveau sur mon échine, si légèrement que je me demande bien si ça fera quelque chose. Au bout d’un bon quart d’heure, elle déclare :
— Bon, je ...
... pense que maintenant tout est en place. Assieds-toi… Comment te sens-tu ?
— Oh ! Incroyable, je me sens tout neuf !
— Ouais, sans aller jusque-là, le tout est de consolider. Tu as le temps ?
— Bah, oui, compte tenu de mon état je n’ai rien programmé.
— Bon, alors je vais te planter quelques aiguilles.
— De quoi ?
— C’est de l’acupuncture. Ça permettra de consolider ce que je viens de faire. N’aie crainte, c’est sans douleur.
Me voilà transformé en hérisson pour une petite heure. Et en plus, elle me fait coucher dessus. Un fakir ! La fine mouche avait quelques intentions : une heure à tuer mais pas de temps à perdre. Elle va fermer sa porte et placer la pancarte « Cabinet fermé » et revient guillerette, posant sa blouse et ses vêtements. Madone ! Oubliée la frêle jeune fille, c’est maintenant une femme dans toute sa plénitude. Quelques kilos de plus harmonieusement répartis, une rousse pulpeuse à souhait avec plus de hanches, plus de fesses, plus de poitrine, en un mot sublime.
— Tu n’es pas mariée ?
— Non, mais même si je l’étais je le ferais quand même, mon vieil amant, répond-elle en commençant à me branler tranquillement. Et toi ?
— Je l’ai été, trois ans, mais divorcé. L’herbe était plus verte dans le pré d’à côté. Mais dis-moi comment tu es passée des chevaux aux gens ?
— Oh, un peu comme toi. J’ai eu mon diplôme, j’ai soigné des chevaux dans des haras pour des sommes impensables, les propriétaires feraient n’importe quoi pour leurs champions, et puis je suis ...