Un séjour plein de souvenirs coquins.
Datte: 09/07/2025,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jeu,
init,
nostalgie,
Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe
... presque assez punie à en juger par les marques sur votre postérieur, Madame, mais l’outrage n’est pas encore totalement réparé. Je vais devoir continuer. Placez-vous donc dans la même position, mais au sol, cette fois-ci. Je serai plus à mon aise pour manier mon outil et achever mes travaux.
La voici donc à quatre pattes sur le parquet ciré du séjour, sa jupe retroussée sur la taille. Je glisse deux doigts dans la fente de sa chatte. Elle est trempée, comme je m’y attendais. Nous adorons tous les deux ces scénarii inventés sur le coup.
— Mais on dirait que vous avez ressenti du plaisir à cette punition. Cela ne se passera pas comme cela !
— Non, Monsieur, me voir ainsi dans cette position impudique et la honte que j’en éprouve devrait vous inciter à la clémence.
— C’est à moi d’en décider. Vous a-t-on déjà investie par cet orifice que l’on ne destine guère normalement au plaisir ?
— Oh non, Monsieur, je suis une honnête femme. Seul mon mari m’a connue et par la voie que l’on réserve naturellement à cet usage.
— Ce sera donc une réparation suffisante.
J’enfonce mes doigts dans son vagin pour les enduire de mouille et j’entreprends d’élargir sa rondelle progressivement. Elle est totalement détendue et il ne me faut pas longtemps pour que le terrain soit propice à la sodomie. Je retire mon pantalon et mon slip que je balance derrière le canapé. Je m’en féliciterai plus tard.
Je m’accroupis et introduis ma verge centimètre après centimètre au fond de son cul et je ...
... la besogne patiemment de plus en plus vite. Elle halète, gémit. Si je résiste aisément au fourreau de son vagin, un peu distendu avec l’âge, c’est plus compliqué quand je suis dans son cul et je pense à autre chose pour ne pas venir avant qu’elle ait joui.
Patatras ! Nous entendons la porte du sous-sol qui s’ouvre. Panique ! J’ai juste le temps de me retirer d’elle, de prendre sa culotte sur le canapé et me cacher derrière. Maïté entreprend de baisser sa jupe, quand Jean-Jacques entre, en pétard.
— Ils n’ont même plus de terre de bruyère. Je vais devoir faire avec du terreau.
— Désolée, mon chéri. Je pense que j’ai perdu une bague et qu’elle est dans le séjour.
Elle fait mine de chercher sous le canapé et commet une erreur, car cambrée comme elle est, Jean-Jacques aperçoit sans doute une partie de sa vulve à nu.
— Et tu fais cela sans culotte ! Tu oublies sans doute que nous avons des invités. Quand même !
— Il n’y a pas si longtemps, cela t’aurait plu. Je suis devenue si moche ? Ou alors tu trouves mieux ailleurs.
Maïté, Maïté ! Tu exagères ou alors tu es irresponsable. Je suis caché derrière le canapé et tente de me rhabiller sans faire de bruit et toi tu trouves le moyen, le cul à l’air, alors que je viens de le quitter, de déclencher une scène de ménage ou d’exciter ton mari.
Je me fais tout petit en entendant Jean-Jacques approcher.
— Mais tu mouilles en plus. Je ne pense pas que ce documentaire soit suffisant pour t’exciter. Tu as ressorti un DVD ...