Un séjour plein de souvenirs coquins. - Histoires de Sexe

Un séjour plein de souvenirs coquins.

... toute jeune. Quand on est bien faite, on est souvent considérée comme une jolie chose à consommer. Ce que je te dis, c’est que Célia s’intéresse à toi, que tu lui fais envie. Si cela se passait, cela ne me poserait aucun problème et je voulais que tu les saches, avec les scrupules qui font de toi une belle personne. C’est une femme majeure, indépendante, et déjà expérimentée. Toi, tu es mon ami, pas mon frère ou mon neveu !
— Non, je ne pense pas qu’il se passe quelque chose entre nous. Cela me mettrait mal à l’aise. Et puis, de ce que tu me dis de sa vie sexuelle, je ne voudrais pas qu’elle tombe amoureuse de moi et lui causer une peine de cœur.
— Mais ce vantard ! dit-elle en souriant et en m’assénant un coup de poing sur l’épaule. Tu te prends pour Don Juan en personne ?
— Non, mais tu m’excuseras de vouloir éviter de blesser une femme juste parce que je la trouve jolie et qu’elle me fait bander.
— Ah ! Tu vois qu’elle t’excite !
— Admettons, mais ça ne se fera pas. C’est tout.
— Tu es libre, toi aussi. Tu fais comme tu veux. Enfin non, pas totalement ! J’ai très envie que tu trouves le temps de m’enculer. Cela fait trop longtemps, dit-elle en riant.

Désormais, ce n’est plus tout à fait pareil quand je prends ma douche et vais m’habiller. J’évite de regarder le miroir, mais je suis, je dois l’avouer, excité par l’hypothèse que Célia soit derrière à m’observer, ce qui provoque deux jours de suite un début d’érection.

Jeudi après-midi est calme. Célia est ...

... partie acheter quelques livres de psychologie pour ses études dans la réputée librairie du centre-ville. On ne sait où est parti Jean-Jacques que je soupçonne maintenant de mener une double vie. La télé est allumée dans le séjour et nous sommes assis devant un documentaire de la 5, le temps étant trop mauvais pour aller faire un tour. Maïté m’annonce que ce samedi, ils se rendront voir des amis dans l’Aveyron, à deux heures de route, à l’initiative de Jean-Jacques, insiste-t-elle(non, non, je n’y suis pour rien) et que nous serons donc seuls Célia et moi ce jour-là. Je réponds à son clin d’œil par un regard courroucé qui la fait rire.

— Ça mérite une punition, cette allusion.
— Non, Monsieur, je ne le ferais plus, promis ! dit-elle en riant.
— Désolé, mais il faut payer cet outrage par un autre outrage. Mettez-vous à quatre pattes sur ce canapé que je vous donne la fessée !
— Bien, Monsieur, mais ne soyez pas trop dur(elle pouffe de son jeu de mots).
— Relevez votre jupe, que je vous châtie !

Elle s’exécute. La voici à quatre pattes sur le canapé, sa croupe attirante et ses hanches larges, seule sa culotte bleue marine recouvrant ses fesses appétissantes. Elle ne m’avait pas vu venir en ayant encore sa culotte. Bien joué. Je lui délivre quelques bonnes claques suffisamment fortes pour qu’elle les sente.

— Levez-vous et venez donc par ici, impertinente. Tournez-vous !
— Aahhhh ! lâche-t-elle, réellement surprise quand je descends brusquement sa culotte.
— Vous êtes ...