1. Un séjour plein de souvenirs coquins.


    Datte: 09/07/2025, Catégories: f, fh, hplusag, fplusag, extracon, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation 69, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, init, nostalgie, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... côté du bureau. Mieux pour se reposer tous les deux, me dit-elle. Tiens ! Tiens !
    
    Je m’installe donc dans cette chambre qui a une particularité : elle est dotée d’un miroir fixé au mur, style « Second Empire » avec ses dorures, mais sans tain(un mètre sur un mètre trente quand même) qui donne sur un cagibi où sont entreposés les différents matériels pour le nettoyage de la maison. À l’époque, pour aller vite, ce cagibi servait à Jean-Jacques pour assister au spectacle que sa femme lui offrait quand elle se faisait prendre par un amant ou câlinait une amante(Maïté est ouverte à tout, Jean-Jacques l’était aussi en ce temps-là).
    
    À l’époque, ce cagibi était toujours fermé à clé. Quand nous nous étions rapprochés, au long des semaines et des mois, et qu’elle avait constaté combien j’appréciais la surprendre en sous-vêtements à la sortie de la salle de bain, comment je lorgnais sur ses seins et ses cuisses, elle m’avait volontairement fait découvrir la particularité de cette petite pièce exiguë.
    
    C’était début décembre(c’est un souvenir très vivace). Elle avait pris la clé sur le petit tableau de l’entrée et me l’avait donnée afin que j’aille chercher le matériel destiné à l’aider à faire un peu de ménage en contrepartie de son accueil le week-end. C’est à cette occasion que j’avais pu constater que l’on pouvait voir dans leur chambre directement au travers de ce miroir. Cela m’avait vraiment surpris, étonné, surtout par ce que cela sous-entendait comme possibilité et parce ...
    ... qu’elle prenait le risque que je la juge en me laissant y entrer. J’avais même vu un sourire discret se dessiner devant mon incapacité à faire passer mon rougissement quand je lui avais remis cette clé.
    
    La découverte de cette pièce et de la manière d’y accéder m’avait valu des surgissements de fantasmes que seules mes masturbations calmaient. Je résistais à l’envie de prendre la clé le dimanche de ce week-end ainsi que le week-end suivant, lorsque Maïté se dirigeait dans la chambre et allait se doucher, à en juger par les bruits qui émanaient de la salle de bain. Une vraie torture où l’envie luttait avec la gratitude que je devais à ces personnes qui m’accueillaient et surtout l’embarras de me faire prendre en flagrant délit de voyeurisme.
    
    La semaine précédente ce week-end définitivement gravé dans ma mémoire, j’avais décidé de prendre le risque de tenter de la voir, même subrepticement, à poil, dans sa chambre. Je fus aidé dans ma démarche dès le samedi de cette semaine hantée par les charmes imaginés de mon hôtesse(qui suscitaient de belles branlettes) par le départ de Jean-Jacques, sitôt le petit-déjeuner passé, qui devait se rendre chez un concessionnaire pour essayer une potentielle nouvelle voiture.
    
    Comme pour me provoquer(et c’était le cas, vous vous en doutez, comme je l’appris plus tard), Maïté avait monté un stratagème.
    
    — Tu sais où est la clé du cagibi. J’aimerais bien que tu passes l’aspirateur pendant que je me prépare ? Ça me ferait gagner du temps. ...
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