Un séjour plein de souvenirs coquins.
Datte: 09/07/2025,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jeu,
init,
nostalgie,
Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe
... de cul ? Il y a quelqu’un dans la maison ?
— Célia est en ville et Marc est parti courir.
— Cela fait peut-être un peu trop longtemps que je ne me suis pas occupé de ta grosse chatte en chaleur.
Une boucle de ceinture se défait, un bruit de genoux sur le parquet et j’assiste en direct à une saillie, car les halètements de Jean-Jacques viennent rapidement. J’entends le claquement des cuisses sur les fesses de Maïté. En moins d’une minute, un râle me confirme qu’il s’est vidé dans son sexe. Même si cela n’est pas à moi de juger, je pense vraiment qu’elle mérite mieux que le coup tiré sans aucune attention pour une femme si sensuelle.
Le mari(peut-on encore le qualifier de partenaire sexuel ?), repart comme il est venu, après avoir tiré son coup par la porte du sous-sol pour s’occuper de ses fameux rosiers qui semblent plus importants que sa femme.
Je sors de ma cachette. Nous ne nous disons rien, car il n’y a rien à dire. Nous nous comprenons parfaitement. Je jouais le rôle du cynique prêt à abuser de son pouvoir pour sodomiser une femme et c’est Jean-Jacques qui l’a punie, mais réellement, lui, en l’utilisant comme un simple objet de masturbation.
Je grimpe silencieusement dans ma chambre, triste pour mon amie. Je fais couler la douche, histoire de donner le change, puisqu’étant censé revenir d’une course.
Je sens la chaleur bienfaisante de l’eau sur moi. Inutile de me savonner puisque j’ai déjà pris une douche. Je mouille juste mes cheveux, les yeux ...
... fermés.
Je sursaute en entendant la porte de la douche s’ouvrir. Maïté est toute nue, son Rimmel a coulé et on peut voir la trace de quelques larmes sur ses joues. Elle entre et se colle contre moi. Sans mot dire, elle me serre et je suis attendri par cette belle femme à la silhouette toujours aussi excitante. Je ne bande pas, du moins dans un premier temps, car je suis ému par la détresse de mon amie.
Je prends le gel douche et entreprends de la savonner entièrement. Son dos, sa taille. Quand j’entreprends la même chose sur ses seins, je sens l’excitation monter, décuplée quand je nettoie minutieusement son intimité paradoxalement souillée par celui qui peut pourtant en jouir légitimement. Nous nous séchons et revenons dans la chambre. Je suis de nouveau paniqué à l’idée que Jean-Jacques ou Célia pourraient nous observer derrière le miroir.
Pour me rassurer, elle murmure :
— Je m’en moque. J’ai envie d’être une femme, d’être désirée et toi tu me désires. Si Jean-Jacques n’est pas content, ça m’est égal. Tu as commencé quelque chose et j’aimerais que tu le termines. J’aimerais même qu’il puisse voir qu’un homme 20 ans plus jeune que nous deux a envie de me faire l’amour.
Elle me prend par la main et s’installe sur le lit à quatre pattes, cuisses écartées face au miroir, la chatte, le cul offert aux regards, indécente.
Je prends du lubrifiant dans ma valise et j’en mets sur ma queue dressée et sur sa rondelle, me place au-dessus d’elle, et comme nous l’étions tout à ...