Un séjour plein de souvenirs coquins.
Datte: 09/07/2025,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jeu,
init,
nostalgie,
Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe
J’ai pris quelques jours de congé pour la Toussaint, j’ai envie de sud pour me reposer. L’occasion de rendre visite à Maïté qui a une place bien particulière dans ma vie personnelle, dans la construction de l’épicurien de sexe que je suis devenu. Cela fait trois ans que je n’ai pas vu Maïté(fichue covid). Je la connais depuis 22 ans ; j’en avais 18 à l’époque. Jean-Jacques et elle m’avaient accueilli, jeune étudiant, alors que j’avais quitté mes parents installés dans le nord-ouest de la France. C’était la fin du lycée, la découverte de la vie d’adulte et de la vie d’étudiant, de jeune adulte, dans une petite chambre d’une cité universitaire du sud de la France.
Mes parents étaient très inquiets de me savoir seul, ayant pourtant déjà 18 ans, à 800 km d’eux, dans une université du sud de la France. Maïté était une amie de ma mère. Elle l’avait connue lorsqu’elle était au lycée. Elle avait gardé des contacts avec elle.
Muni de l’adresse, c’était ainsi que j’avais pris le bus et m’étais retrouvé dans le centre-ville, devant une belle maison bourgeoise du XIXe siècle aux portails ouvragés. Après avoir sonné, une femme était sortie de la maison et était venue m’accueillir au portail.
J’ai tout de suite été sous le charme de cette quadragénaire(à l’époque). Bien que très simplement habillée, j’avais tout de suite remarqué son opulente poitrine. Le puceau que j’étais avait beaucoup de mal à détourner les yeux de tels appâts. Cheveux châtains, dans son pull moulant, je ...
... pouvais voir sa taille fine et ses hanches larges qu’un jean moulait habilement.
J’aurai l’occasion sans doute de raconter comment, peu à peu, j’ai découvert une femme intensément sensuelle qui avait à l’époque une vie sexuelle totalement débridée avec la complicité de son mari Jean-Jacques, comment une intimité progressive et la découverte des mœurs libres de ce couple, nous avaient conduits à partager bien plus que le gîte et le couvert durant les week-ends. Son mari n’a jamais su qu’elle m’avait dépucelé.
C’est donc toujours avec plaisir que je revois Maïté pour discuter de nos vies, de nos expériences et que je passe un peu de temps avec elle. Pour tout vous avouer, nous jouissons de nos corps quand nous nous retrouvons. Nous parlons depuis quand nous sommes tous les deux très simplement et ouvertement de sexe.
Je toque à cette porte et les souvenirs me reviennent. Maïté m’accueille et me serre dans ses bras. Elle vieillit bien et son corps de sexagénaire ne me laisse pas insensible. Si elle a pris quelques kilos, au demeurant aux bons endroits, elle attire toujours l’œil des hommes, du mâle que je suis.
Premier changement quand j’arrive, je n’ai pas le droit à la chambre d’amis et elle m’installe dans la chambre qu’ils occupaient auparavant. Elle anticipe ma question et me fait part du fait qu’ils font désormais chambre à part, elle au premier, à côté de leur ancienne chambre, et Jean-Jacques dans une chambre aménagée au rez-de-chaussée de cette grande maison à ...