Un séjour plein de souvenirs coquins. - Histoires de Sexe

Un séjour plein de souvenirs coquins.

... profite d’une grasse matinée. C’est un moment privilégié entre nous depuis toujours, propice aux confidences.

— Tu sais que tu intéresses, Célia ?
— Tu te fais des idées, je pense. À moins que tu veuilles m’exciter. Tu sais que ce n’est pas nécessaire.
— Non, je t’assure, elle m’a questionné sur toi, comment nous nous sommes connus, ce que tu fais dans la vie, si tu es marié ou en couple.
— Tu ne lui as quand même pas dit que nous avions été amants, que tu m’avais dépucelé, j’espère !
— Non pas de détails intimes. Je lui ai quand même glissé que tu étais un homme attentif au bien-être des femmes, que tu étais divorcé et que tu vivais de manière très libre.
— Je te le dis, tu te fais des idées. C’est juste de la curiosité vis-à-vis d’une personne qu’elle a rencontrée chez sa tante. Et puis, magnifique comme elle est, elle doit avoir tous les amants qu’elle désire.
— Magnifique ! Ah, tu vois, en plus, elle ne te laisse pas indifférente non plus !
— Mais non, Maïté ! C’est juste un avis masculin objectif. Elle est très désirable, c’est certain. De là à avoir envie de sauter une jolie jeune fille, qui plus est la nièce de mon ami, il y a un pas dont l’idée ne m’effleure même pas.
— Célia n’est pas une jeune fille. C’est une femme de 22 ans, et si elle a tous les amants qu’elle désire, elle s’est faite davantage consommer, sauter, qu’elle ne s’est vue proposer des moments d’attention partagée où on prend en compte son plaisir et ses envies.
— Vous discutez de cela ...

... ?
— Oui, c’est la raison essentielle pour laquelle elle est venue vers moi après tant d’années sans se voir. Elle sait que, contrairement à sa mère, elle peut tout partager avec moi.
— Bien…
— Tu sais, je sens qu’elle est attirée par toi. Je suis quasi certaine qu’elle t’a maté au travers du miroir du cagibi.
— Tu te fais des idées.
— Pas tant que ça. Il n’est plus fermé à clé, maintenant.
— Bon d’accord ! Mais ça ne veut pas dire qu’elle y est venue pour me mater.
— L’autre jour, je suis allée chercher un seau dans le cagibi. Tu étais en train de finir de t’habiller. J’ai d’ailleurs songé à te rejoindre pour un petit moment coquin. Il y avait dans la pièce une odeur de chatte et ne me dis pas que tu ne sais pas ce que c’est, hein. Tu sais, une odeur telle que celle que ton visage dégageait après m’avoir délicieusement bouffée le minou(Elle rit de manière charmante).
— Bon, peut-être, et alors, elle m’a vu tout nu ! Elle s’est masturbée ? Elle est donc en bonne santé. La belle affaire.
— Et toi, tu n’as pas envie d’elle ?
— Non, je t’assure.
— Menteur ! Je suis même persuadée que tu t’es branlé en pensant à elle !
— Je ne vais pas baiser la nièce de ma meilleure et plus ancienne amie ! J’ai mes limites !
— Merci pour « ancienne ». Je ne suis pas en train de jouer les mères maquerelles. Je ne suis pas en train de te pousser à la baiser, ou plutôt de lui faire l’amour. De ce qu’elle m’a raconté, elle reste souvent sur sa faim après avoir été consommée. J’ai connu ça, ...