A deux, c’est mieux
Datte: 08/07/2025,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
jouet,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... Martine inverse les « guides » fixées au sein gauche de l’une et au sein droit de l’autre. Elles auront intérêt à coordonner leurs pas et leurs mouvements pour ne pas s’infliger des tiraillements supplémentaires de leurs poitrines et de leurs chattes.
Pour l’instant, elles sont immobiles, épaule contre épaule, deux cavales appariées dont la mieux dressée est le mentor de la postulante. Leurs harnais brillent au soleil, éclats d’acier des pinces et des chaînettes qui barrent les bustes, éclats de bronze des créoles qui ornent les entrecuisses. Des perles de sueur s’irisent çà et là sur les peaux nues qu’une transpiration sournoise envahit peu à peu. Les crinières s’agitent parfois, lorsqu’un insecte importun sur une joue s’abreuve. Les têtes bougent alors, mouvements contrôlés qui se gardent d’accroître les tensions sur les zones sensibles des corps.
Je les contemple de dos pendant que nous chaussons nous aussi nos protections pédestres. Hormis les poils gris ou bruns qui les coiffent et une légère différence de hauteur, rien dans leur tournure ne distingue vraiment ces deux silhouettes sans voile. Je suis à nouveau frappée par la jeunesse d’allure que Colette conserve. Sa taille n’est pas moins marquée que celle de Marie, ses hanches ne sont pas plus empâtées, ses jambes ne sont pas moins bien dessinées, ses fesses n’accusent pas de mollesse qui fâche et soutiennent sans rougir le voisinage de leurs cadettes. Ah, si, à ce niveau un contraste : la largeur de la base ...
... des plugs anaux qui pénètrent les culs.
Et à mieux regarder, je distingue autre chose lorsque me sautent aux yeux, luisantes et ténues, les traces maculant les cuisses de Marie. Les effets pernicieux des œufs de geisha me reviennent en mémoire. Garnie d’eux par Colette, quelques minutes et la courte distance entre maison et voiture avaient alors suffi pour me faire éprouver des frissons délicieux. Des mêmes causes, donc, les mêmes conséquences, ma petite chérie mouille autour de son gode, japonais de concept sinon de création. Une ardente jument se passe d’étalon. Ne manque que la queue. De crin ! Que n’allez-vous penser ?
Oui, une queue de cheval adroitement placée embellirait au mieux chacune de ces croupes. Je m’en ouvre à Janine qui se désole aussi d’un manque d’accessoires complétant le tableau. Sans doute existent t’ils, là-haut dans le donjon, mais aller les chercher nous retarderait trop. Il faudra les prévoir si ce jeu de poneys nous excitait assez pour le renouveler. Je me prends à rêver du rôle de Marie… Mais accouplée à qui ? Andréa, par exemple ?
Pourquoi pas ? L’image me séduit. Mon sein étiré vers sa chatte, et le sien vers la mienne, nos tétons tourmentés par les pinces cruelles, nos lèvres enjolivées des créoles attachées, un gode dans le con, un gode dans le cul, les rênes en chaînettes nous caressant la fente et, comme maintenant, réunies par derrière dans la main de Martine qui agite son fouet…
— En route !
D’un geste ample et noble, la ...