1. A deux, c’est mieux


    Datte: 08/07/2025, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, uro, fouetfesse, piquepince, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Non, la chambrière n’était pas pour moi. Martine a inventé un nouveau jeu. Nous sommes descendues du Donjon dans la Basse-cour – le jardin, quoi – en procession solennelle de sept aubes blanches, notre Reine en tête, et Colette nue trottinant devant nous. Je fermais la marche, chargée d’un coffret que des mains obligeantes m’avaient confié. Une fois arrivées, Martine a tiré sur les rênes et sa cavale s’est arrêtée. Une traction de plus l’a mise à genoux. Martine a insisté et j’ai retrouvé Colette dans la position obscène où je l’avais surprise un matin de début Avril, il y a quatre mois, il y a un siècle.
    
    Les épaules au sol, les seins traînant à terre, le cul en l’air, Colette attendait, les cuisses écartées, la base d’un gode trônant entre les créoles de ses nymphéas. Martine m’a fait signe d’approcher et a choisi divers accessoires dans le coffret. Puis, elle s’est tournée vers Marie.
    
    — Tu as assisté Colette dans le rôle de dominante, hier. Veux-tu l’accompagner dans le rôle de soumise, aujourd’hui ?
    — Oui Ma…, oui Maîtresse.
    — Bien. Dis-nous ton mot de sécurité.
    — Euh… Mon quoi ?
    
    Les yeux de Marie avaient brillé en répondant à la première question. Je m’attendais presque à l’entendre dire « chiche ! », comme à son habitude. Mais la seconde la plongeait dans un abyme de perplexité. Il a fallu lui en expliquer les raisons et la nécessité.
    
    — Et si c’est trop dur pour toi, tu dis ce mot et tout s’arrête, acheva Martine.
    — ...
    ... Oui… Je comprends… Mais…
    — N’importe quel mot, un mot facile que tu ne risques pas d’oublier, insistai-je voyant qu’elle ne savait que choisir.
    — Heu… Chiche !
    — Quoi, chiche ?
    — Ben, c’est ça… mon mot… de sécurité… comme vous dites, a balbutié Marie.
    
    Décidément, il lui tient à cœur, ce mot. Qui incite pourtant l’autre à surenchérir plutôt qu’à s’abstenir de continuer… Inconsciente jeunesse !
    
    — Ce n’est peut-être pas le plus approprié, a ri Martine. Mais d’accord : chiche, c’est noté ! Retire ta tunique, a-t-elle brusquement ajouté.
    
    Ma Marie est nue maintenant, bien moins sûre d’elle en contemplant d’un air perplexe l’objet que sa Maîtresse vient de lui fourrer dans la main, et qui du coup s’impatiente.
    
    — Eh bien, quoi ?! Tu n’as jamais vu un plug anal ?
    — C’est… c’est pour moi ?
    — Pas encore, rassure-toi ! C’est pour Colette. Tu devines où le lui mettre, je suppose ? Mais suce le bien avant.
    
    Je crois qu’en effet la bête serait trop grosse pour le petit fondement de ma puce. Elle a déjà du mal à l’enfourner dans sa bouche et nous amuse en s’escrimant maladroitement à mener à bien ce simulacre de fellation. Un bon entraînement, au fond, qui pourra lui être utile le jour où elle se décidera à fréquenter les garçons. Elle finit par s’acquitter honnêtement de cette première partie de sa tâche. Reste la plus délicate : introduire où il convient l’instrument.
    
    Marie est embarrassée devant le postérieur que lui présente Colette. Celle-ci est passive, celle-là ...
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