A deux, c’est mieux
Datte: 08/07/2025,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
jouet,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... hésite. Un bref mouvement du poignet, et la mèche du fouet de Martine lui caresse les fesses. Un léger claquement, à peine une faible marque rose sur la peau, mais qui suffit à décider l’indécise. Elle appuie le bout du plug sur le cratère offert. Le grand soupir de sa résolution nous parvient quand elle l’enfonce. Un peu trop brutalement, sans doute, à voir le sursaut que ne peut réprimer la réceptrice. Mais sa plainte involontaire est presque inaudible et l’intrus dans son cul est bien en place.
Marie se redresse, partagée entre remord et fierté, pour se faire aussitôt héler par Martine.
— Viens ici ! Tiens-toi droite ! Écarte les jambes ! Présente-moi ta chatte ! As-tu déjà connu les pinces aux lèvres, petite soumise ?
— Nnnn… non… Maîtresse.
— Ils sont pourtant bien jolis, tes longs pétales, reprend celle-ci en froissant les petites lèvres entre pouces et index. Et déjà mouillés, hein ? Ils méritent leur récompense. Tu vas adorer !
Marie tremble, je vois des frissons qui agitent son dos. Elle doit rassembler tout son courage pour ne pas flancher devant ses aînées et Anaïs. J’ai pitié d’elle. Je la serre contre moi, mes mains prenant ses seins pour la rassurer. Elle s’agrippe à mes bras, sa nuque nichée au creux de mon épaule. Je lui murmure à l’oreille qu’elle peut tout arrêter. La voix lui manque, mais elle remue la tête pour dire non. Elle veut savoir.
Martine la regarde intensément en lui montrant les deux simples pinces plates prolongées d’un anneau ...
... qu’elle tient dans la main. Puis, elle lui parle presque affectueusement.
— Relève un peu ta jambe gauche.
Marie obéit, ses doigts se crispent sur ma peau. Sa respiration se bloque lorsque les mors en plastique se referment sur sa chair fragile. La première pince est posée.
— Inspire à fond, conseille Martine en réitérant sa demande pour la jambe droite.
Cette fois, ce sont les ongles de Marie qui s’incrustent dans mes avant-bras. Par réflexe, je serre plus fortement ses seins. Une douleur qui la distrait de l’autre, confondant leurs ondes dans son ventre. Un petit gémissement conclu la pose de ses nouveaux ornements. Elle se détend. Je relâche ma prise. Martine est toute douceur.
— On va plus loin, si tu veux, susurre-t-elle. Sur les tétons, comme Colette ?
Le petit cœur de Marie bat la chamade, je le sens sous ma paume. Sa poitrine palpite, elle frissonne, mais ses fraises sont tendues. Je les caresse du bout des doigts et tout son corps frémit contre moi. Instant d’incertitude que je ne trouble pas, trop excitée par la communion de nos sens. Je sais ce qu’elle éprouve, la peur et le désir, la tentation et le refus. Je connais ce trouble, ma chatte est aussi mouillée que la sienne. À elle seule de faire son choix.
— Chi…, commence-t-elle avant de se reprendre in extremis. Oui ! Sur les seins, oui…
Ce n’était qu’un souffle, un murmure, qui fait naître un sourire sur les lèvres de Martine. Sur celles aussi de nos autres compagnes dont je comprends soudain ...