A deux, c’est mieux - Histoires de Sexe

A deux, c’est mieux

... vulgaire bassine en zinc qui fait entendre une belle musique sous le jet fusant qui la frappe. J’imagine le plaisir de ma petite puce en vidant sa vessie, comme je sens contre ma joue la sienne brûlante de honte à rejouer la « Janneke-piss »face à l’aréopage de maîtresses. Et ça dure, ça dure… Ça dure trop au goût de Martine qui s’agace.

— Bon !! C’est fini ?? On ne va pas y passer l’après-midi ! S’il t’en reste, tu le feras en chemin ! Béné, ajoute-t-elle, tu veux bien aller nous chercher deux paires de baskets, pendant qu’on en termine avec cette petite cochonne ? Et toi, Andréa, je suppose que tu veux introduire toi-même ton jouet ?
— Attends, ma chérie, intervient Janine. Tu as bien dit « comme Colette » ? Tu ne crois pas que ce mignon petit trou avalerait volontiers ce joli petit plug ?

Marie a un semblant de refus en voyant les ustensiles en question, mais Martine approuve vivement la suggestion de Janine. Alors, la tête de Marie retombe sur mon épaule et un gros soupir s’échappe de sa bouche.

— Je suis prête, Maîtresse, émet-elle faiblement tandis que je couvre sa joue de petits bisous.
— Très bien, acquiesce Martine, mais procédons dans l’ordre : ton œillet, d’abord. Détends-le bien, soumise. C’est Anaïs qui va s’en charger. Il faut bien qu’elle se fasse la main !

La boutade fait rire les copines, mais pas Anaïs qui prétexte son manque d’expérience.

— Allons, l’encourage Janine, ce n’est pas plus difficile que de mettre un suppositoire ! Ça t’est ...

... déjà arrivé, non ? Tu n’as qu’à enduire le bout en le passant sur son con et, tu verras, il glissera mieux dans son cul.

Le langage est grossier, mais le conseil est pertinent. Anaïs le suit à la lettre, et la position et le consentement du sujet aidant, le petit plug s’insère facilement entre les fesses ouvertes. Tout juste si les doigts de Marie se sont-ils crispés sur ma nuque lors de l’intromission avant qu’elle ne frissonne et soupire à nouveau, de plaisir cette fois. Sa joue est moins chaude sur la mienne, la coquine y prend goût. Je sens son sourire quand Andréa prend la place de Anaïs entre ses cuisses.

Andréa m’avait étonnée par sa souplesse, elle me surprend par sa douceur. Il y a de la tendresse dans ses gestes lorsqu’elle introduit le godemiché et c’est avec délicatesse qu’elle écarte les nymphes pour ne pas raviver la morsure des pinces. Puis, elle le pousse lentement dans le vagin en prenant garde de ne pas le forcer. Mais ma petite chérie est si mouillée que le plastique glisse tout seul, et si excitée que c’est elle qui projette son bassin à sa rencontre.

— Doucement, petite goulue, rit Andréa. Attends au moins que j’ai fini avant de t’agiter comme ça ! Sinon tu vas le perdre en marchant… Voilà !

Quand elle se retire, le gode est clipsé sur les anneaux des pinces, et Martine lui succède pour faire rapidement passer, à travers chacun d’eux, chaque chaînette des seins – « Comme Colette », avait-elle dit, n’est-ce pas ? – avant d’ordonner la remise sur ...