A deux, c’est mieux
Datte: 08/07/2025,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
jouet,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pieds de la patiente. Pour ma part, je n’en suis pas fâchée. Même avec de l’aide, mes reins finissaient par peiner à supporter son poids, et la voir harnachée telle une réplique plus jeune de notre hôtesse est assez plaisant, bien que je compatisse à sa peine et à son embarras.
Les poignées des chaînes/rênes dans une main, la chambrière dans l’autre, Martine dirige Marie vers Colette, et d’une traction prolongée l’oblige à prendre la même position. Les voici donc agenouillées côte à côte, la nouvelle et l’ancienne soumises, leur poitrine au sol, leur cul en l’air, leurs pieds nus reposant sur les orteils et sagement écartés pour laisser ouverte la fourche des cuisses. L’une s’abandonne avec la patience d’une longue habitude, l’autre s’y efforce avec l’inquiétude d’une récente pratique.
Martine s’amuse à promener la mèche de son fouet des voûtes plantaires sans défense aux intimités offertes. Caresses légères et virevoltantes qui font frissonner les peaux exposées de la crainte d’une soudaine morsure du cuir. Il ne s’agit pourtant que de distraire une attente, mais l’incertitude d’une douleur prochaine en aiguise la peur. La Maîtresse joue de cette sourde anxiété pour prolonger le doute jusqu’au retour de Bénédicte nantie des baskets réclamées, et aussitôt mise à contribution.
— Sois gentille de ferrer ces deux mules pendant que je m’assure de leur docilité, lui sourit Martine.
Elle ne cesse de faire voleter la lanière d’une échine à l’autre tout le temps de ce ...
... ferrage, et lorsque les fers/baskets sont enfin en place, ce sont deux claquements secs qui réveillent les croupes.
— Debout, fainéantes ! C’est l’heure d’être bâtées !
Je n’ai pas à me poser la question, le petit sac à dos que me tend Andréa fera office de bât. Elle me confie le soin d’en harnacher la pouliche tandis qu’elle équipe de même sa voisine. Ce n’est pas si simple de disposer les bretelles en travers du jeune poitrail avec les pinces et les chaînettes qui l’entravent, mais en prenant exemple sur les gestes de ma compagne je m’en tire honorablement. C’est un peu serré, peut-être, mais au moins nous n’aurons pas besoin de re-sangler en cours de route, si j’ai bien deviné quel est le but de ces préparatifs : une promenade vers le « petit Nice » de Colette, à en juger par les bouteilles d’eau embarquées dans les sacs.
La remarque de Andréa, plantée devant l’attelage, me conforte dans mon hypothèse.
— Martine, ma chérie, si tu veux travailler tes soumises en rênes longues, il vaudrait mieux leur croiser les guides intérieures pour qu’elles restent bien accouplées.
— Ah oui, sage précaution ! Je vais le faire. Tenez-les par la bride.
Allons bon ! Encore une métaphore équestre, mais de quelle bride s’agit-il ? Là aussi, il me suffit d’observer Andréa pour comprendre. Elle s’empare du bout du téton gauche de Colette, je fais de même avec le droit de Marie. Il est dur et gorgé de sang. Ma puce chérie lutte pour supporter courageusement sa géhenne, tandis que ...