1. A deux, c’est mieux


    Datte: 08/07/2025, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, uro, fouetfesse, piquepince, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... bout de ses longues petites lèvres. Un joli tableau devant lequel se penche Martine.
    
    Aux mouvements de ses poignets, je comprends qu’elle a saisi délicatement les ornements de la chatoune et qu’elle les éloigne l’un de l’autre. Son sourire et le frisson de Marie témoignent des effets de son geste sur la fente. Ses yeux s’illuminent et son sourire s’élargit quand elle approche le nez de la fourche ouverte. Elle inspire à pleins poumons puis se recule en riant.
    
    — Hé, les filles ! Venez voir ! Elle mouille comme une cochonne, cette coquine !
    
    Dire qu’une bousculade s’en suit serait exagéré. Après tout, elles ne sont que trois à réagir, Anaïs est déjà à proximité. Mais elles la rejoignent dans un empressement joyeux tandis que Martine requiert impérativement ses services.
    
    — Aide-moi, ma belle ! Les copines ne profiteront pas du spectacle si je reste devant ! Tu fais pareil que moi : tu passes une main sous la cuisse et tu tiens la pince bien plaquée contre.
    
    Quatre mains sous les cuisses de Marie, cela commence à faire beaucoup. Néanmoins, je ne vais pas me plaindre de ces soutiens supplémentaires : je commençais à fatiguer. Ils seront les bienvenus aussi pour neutraliser un réflexe inopportun de fermeture. Ce n’est pas le cas pour l’instant. L’angle de vision est largement ouvert et son centre franchement exposé attire d’intéressants commentaires qui font rougir l’intéressée malgré sa résignation.
    
    C’est à celle qui fera montre du meilleur sens de ...
    ... l’observation. L’une remarque la profusion d’une cyprine pourtant si légère au toucher. L’autre pointe la turgescence du bourgeon qui émerge de sa cachette. Celle-ci admire la palpitation des muqueuses intimes et en décrit les détails. Celle-là s’extasie sur le charme de l’étoile bistre du cratère mis en valeur par la position. Un vrai concourt des beaux-arts licencieux !
    
    — La pauvrette, s’apitoie Andréa, elle doit être malade d’excitation, ton apprentie soumise, Martine. Je suis sûre qu’il y a quelque chose pour contenter son conin, dans le coffret, non ?
    
    Elle y farfouille quelques secondes et se redresse avec une exclamation de satisfaction en brandissant un gode de taille médiocre, mais qui résonne de façon étrange dans sa main. Elle l’agite gaiement à mon oreille et je crois reconnaître un vague son de maracas. Il enferme, semble-t-il, deux objets lourds qui butent contre l’enveloppe souple. Je spécule sur un olisbos extrapolé des classiques boules japonaises, ce que me confirme le clin d’œil de la malicieuse rousse, toute fière de sa trouvaille.
    
    — Et, tu vois, il y a deux clips sur la base qui permettent de le…, commence-t-elle avant d’être interrompue par la voix hésitante de Marie.
    — Par… Pardon… Maîtresse, mais il faut… que je … fasse… pipi, balbutie piteusement celle-ci.
    — Eh bien pisse, pisseuse, lui rétorque Martine. Mais attends qu’on t’ait mis un seau. Pas envie qu’on patauge dans ta pisse !
    
    Ce n’est pas un élégant Bourdalou que lui propose Bénédicte, mais une ...
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