Le plaisir n'a pas de genre - Histoires de Sexe

Le plaisir n'a pas de genre

... culotte de salope… Tu aimes sentir la ficelle te rentrer dans le cul ? Tu es sûre qu’il y a assez de tissu pour éponger ta mouille ? Je vais vérifier.

Ayant tout fait pour en arriver là, je ne proteste pas lorsque Séverine écarte mon sous-vêtement et passe ses doigts sur ma vulve, descendant très bas, puis me les présente, brillants de mon jus.

— Madame est en chaleur, on dirait, elle ne sait pas se retenir, elle ne contrôle pas ses flux, deux caresses sur ses tétons et la voilà qui jute comme une fontaine… de quoi donner des idées perverses !

Je cherche désespérément le regard de ma tendre voisine, mais ne rencontre que deux yeux qui me fixent intensément, et au fond desquels brille une étrange lueur. Ses doigts se posent sur ma culotte et frottent le tissu contre ma vulve gorgée, pressant mes chairs sensibles, je sens l’humidité grandir entre mes cuisses.

— Mais tu sais que tu me rendrais presque jalouse, ma cochonne, je ne crois pas que mon abricot soit capable de couler autant… Regarde, tu as complètement souillé tes jolies dentelles… Donne-moi cette guenille !

Je fais glisser ces quelques grammes de soie le long de mes cuisses et les lui tends, elle s’en saisit du bout des doigts, l’approche de son visage et y plonge son nez.

— Mmmm… quel parfum suave, Madame a la chatte délicate… Relève tes jambes, ma jolie bourgeoise, que je puisse admirer ton cul… Oh oui, il est comme je l’imaginais, galbé à souhait, une merveille. Serre tes jambes et tiens-les ...

... relevées d’un bras, ma chérie, et de l’autre main viens me montrer comment tu t’occupes de ta figue si juteuse.
— Mais, Séverine…
— Chuut, depuis quand tu discutes les consignes du professeur ? Ce n’est pas poli. Allez, mets un doigt dans ta moule, fais-toi plaisir, ma vicieuse.

Ma petite prof adorée joue parfaitement son rôle, elle me donne des ordres et j’obéis, je suis tellement excitée que j’en perds toute pudeur ou raison. La luxure seule guidant désormais mes pensées, ce sont deux doigts que j’introduis lentement en moi dans un bruyant soupir, prête à me donner du plaisir devant cette mignonne petite garce. Je commence un puissant mouvement de va-et-vient lorsque :

— Doucement, ma belle, je ne t’ai pas demandé de te branler aussi vulgairement, à la va-vite comme une collégienne, il n’y a que moi qui aie le droit de te faire jouir, alors montre-toi digne, sois patiente. Fais-moi voir tes doigts ! Oui, ils sont bien gluants, c’est parfait, maintenant, étale doucement cette mouille sur ton petit trou plissé et son pourtour, reprends un peu de jus de chatte s’il le faut. N’appuie pas trop fort, espèce de gourmande, fais des petits cercles, voilà, tu sens comme c’est sensible ? Tu le touches ton adorable cul, des fois, quand tu te mignardes toute seule dans ton lit ?
— Séverine… Tu veux me rendre folle ? Je n’en peux plus…
— Oh, Madame est impatiente, mais j’ai cru comprendre que quand mon Julien t’a fourré jusqu’à la garde, tu faisais moins ta mijaurée, tu voudrais ...