Le plaisir n'a pas de genre
Datte: 26/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... vas-y, remplis-moi toute, grand vicieux…
— Il est tout entier en toi, Magali… ! Julien, sois délicat…
— Ne t’inquiète pas, mon amour, je ne suis pas une brute… Son petit cul est bien serré, c’est un délice, c’est soyeux, c’est chaud, je ne vais pas résister longtemps avant de l’arroser… Bouge un peu sur moi, jolie voisine, c’est bon… Séverine, ma douce, caresse-moi les boules, s’il te plaît…
Voulant moi aussi sentir le frottement de l’archet sur mes cordes sensibles, je commence de petits mouvements de haut en bas, me laissant chaque fois retomber complètement tant cette profonde pénétration me comble de sensations à nulle autre pareille. À mesure que l’instrument fait sa place autour de lui j’augmente l’amplitude de mes translations, jusqu’à parfois lui permettre de passer la tête en dehors de la salle de concert pour l’y replonger plus profond encore, soutirant au soliste complice de profonds trémolos qu’il accompagne d’une forte cambrure de ses reins, me soulevant presque.
Je sens parfois la main de Séverine effleurer mes fesses quand elle câline les gonades de son chéri, j’aimerais qu’elle me touche le clito, mais je n’ose pas lui demander.
Julien prend à cœur son rôle de ...
... premier violon et je le lui laisse entièrement, le sentant proche du Finale, il coulisse en moi selon un rythme que je ne peux suivre, mes mains appuyées sur son torse me permettant juste de conserver l’équilibre sous ses assauts.
— Oh, Magali, serre bien ton petit cul, ma belle, oh oui, plus fort, oui… oui… oohhh…
Je ferme les yeux et quand je sens au fond de moi palpiter cette virilité tendue à l’extrême, je contracte brusquement mes fesses. D’un coup, la chaleur de la semence expulsée se répand en moi, alors que le violoniste se mue en ténor pour exprimer son contentement.
Épuisée, je m’allonge sur mon jeune amant, reprenant mes esprits même si je n’ai pas joui. Julien me serre dans ses bras, m’assurant que je suis une amante extraordinaire, alors que Séverine est juste à côté de nous, de toute évidence encore troublée. Elle glisse une main dans son short et se caresse, pendant que son index de l’autre main recueille avec douceur le fluide corporel qui s’échappe de mon corps et l’étale délicatement sur mon petit anneau encore dilaté, sans un mot, le regard fixé sur mes fesses.
Nous la regardons jouir, seule, sans oser dire ni faire quoi que ce soit. À quoi pense-t-elle ?
À suivre…