1. Le plaisir n'a pas de genre


    Datte: 26/06/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation massage, caresses, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... gracieux. Ses lèvres prennent possession des miennes, les emprisonnent puis les mordillent avant de capturer ma langue et de la sucer longuement, provoquant chez moi d’indicibles images érotiques de virilité ainsi honorée.
    
    Délaissant mon visage, les mains de mon initiatrice relèvent mon débardeur et s’emparent de mes seins hypersensibles, car durcis par le désir, en pincent les pointes et les font rouler entre pouce et index. Quelques secondes de cette divine caresse me propulsent dans un monde où seul compte le plaisir, alors je me laisse partir, je jouis longuement et bruyamment sous le regard énamouré de ma jeune maîtresse.
    
    — Oh, Magali, tu avais du plaisir en retard… !
    — Oui, ma tendre salope, vingt ans de retard, mais tu t’y prends merveilleusement bien pour me le faire rattraper… ! Ne t’arrête pas, Séverine, je suis à toi, fais-moi découvrir mon corps, fais-moi femme, s’il te plaît…
    
    Ma jeune amante m’enlève mon débardeur et sa bouche commence dans mon cou la découverte de ma peau brûlante, la lèche avec délicatesse, l’embrasse, lui donne la chair de poule et fait monter la fièvre des sens. Séverine m’allonge sur le canapé, je ne porte plus que mon short comme attribut de ma pudeur, celle-ci se faisant de plus en plus évanescente. Lorsque ses lèvres s’emparent de mes mamelons, qu’elles les sucent avec tant de sensualité, les mordillent, les abandonnent lâchement pour dessiner sur mes aréoles de troublantes arabesques, mon excitation croît encore, atteignant ...
    ... son paroxysme quand la belle reprend dans sa bouche mes deuxclitoris pectoraux. Un orgasme puissant me traverse à nouveau, je crie, je projette mon bassin contre le ventre de ma maîtresse, je cherche frénétiquement sa bouche et l’embrasse fougueusement avant de littéralement feuler :
    
    — Oh, Séverine, je le savais, j’en étais sûre… Encore, s’il te plaît, encore… donne-moi du plaisir… je suis à toi, mon amour…
    
    Passé le moment de surprise de me voir ainsi réceptive, ma jeune bienfaitrice semble vouloir exaucer mes inavouables fantasmes, peut-être aussi les siens, de me conduire au plaisir longtemps refoulé. Déjà, je suis agitée de spasmes quand je sens sa langue atteindre mon ventre, explorer mon nombril, s’attarder à la lisière de mon short. Sa bouche embrasse ma peau, aucune parcelle n’en est ignorée, parfois Séverine s’amuse à juste promener son souffle chaud sur moi, ou à juste m’effleurer de ses lèvres, à l’écoute de ma respiration, de mes gémissements à peine contenus. Ses doigts, eux aussi, m’invitent à me livrer sans retenue, un index provocateur glisse d’une insupportable lenteur de ma poitrine à la ceinture de mon short sous laquelle il se glisse, puis remonte, suivant le tracé préparé par la langue humide de mon initiatrice.
    
    L’injonction brutale me ramène à la trivialité du monde.
    
    — Enlève ton short !
    
    Surprise du ton, je quitte cette pauvre armure de toile et dévoile au regard brillant de ma complice un string noir arachnéen.
    
    — Oh… ! Voilà une jolie ...
«12...678...21»