Le plaisir n'a pas de genre - Histoires de Sexe

Le plaisir n'a pas de genre

... mon corps n’avait pas encore reçu son content de jouissance, et que je ne saurais atteindre celle-ci seule dans mon lit à les écouter faire l’amour. Comment, dans mon état, refuser pareille promesse de volupté ? Je sortais à peine de ma relation Ikea, deux tristes décennies dévolues à l’assemblage répétitif d’un seul et même article et là, je me voyais d’un coup proposer l’étendue complète du catalogue, avec démonstration d’un couple d’artisans chaleureux. Émue, perturbée, excitée tout à la fois, je craquai.

— Tu es adorable, toi, et même si tu n’es qu’une petite perverse, une vilaine dévergondée, j’accepte votre invitation.
— Oh, Magali, c’est magnifique ! Julien, viens, Mag est d’accord de dormir chez nous, viens l’embrasser avec moi !

Je me retrouvai prise en sandwich entre eux, Julien m’embrassant à pleine bouche, sa douce moitié couvrant mon cou de baisers en me pelotant les seins, j’étais dans l’antichambre du paradis.

— Va t’asseoir, Julien, je vais donner à notre amante les consignes de sa troisième leçon comme nous les avons discutées. Ma chérie, je sais que tu as autant envie de nous que nous avons envie de toi, alors il faut fêter ces désirs mutuels, les partager, les vivre sans aucune culpabilité ni barrière morale que ce soit. Tu me comprends, Magali ? Tu sais que tu me fais déjà mouiller, à te voir dans ce sublime body ?
— Oui, Séverine, même si je ne comprends pas vraiment ce qui m’arrive, tout est allé si vite… oui, j’ai envie de vous, de vous ...

... deux, madame et monsieur le professeur, vous avez tellement à m’apprendre…

Ma perverse enseignante m’embrasse tendrement avant de me lécher les tétons, le contact de sa langue humide et le crissement du tissu sur mes bouts déclenchent aussitôt d’érotiques frissons, amplifiés quand la belle s’agenouille et vérifie de ses lèvres la douceur de ma figue épilée. Elle me demande de regarder Julien, allongé entièrement nu sur le canapé, caressant lascivement sa verge raidie de désir pour moi, puis Séverine ouvre les pressions du gousset de mon body et introduit son majeur en moi, me doigtant délicatement. Je coule déjà. Ma jolie prof me prend la main et m’amène près de Julien.

— Regarde comme elle est belle, Julien, comme elle est désirable, sexy, tu as envie d’elle ou tu préfères te branler ?
— Oh oui, Sév, elle est absolument sublime notre voisine, c’est une beauté sensuelle, et j’ai une envie folle de lui faire l’amour, là, ici, maintenant, tout de suite… ! Viens, Magali, viens… ! Je n’en peux plus de me masturber en pensant à toi, je veux jouir en toi maintenant !

Julien me tend les bras et je suis sur le point de m’y jeter, mais la petite garce me retient.

— Attends un peu, laisse-moi le préparer et rappeler ses devoirs à ce grand baiseur impatient, je te promets que tu vas jouir bientôt, ma tendre chérie, promis.

Séverine s’agenouille devant son homme et le prend en bouche, le masturbe et le suce bruyamment jusqu’à ce que le membre viril soit raide et luisant. Se ...