Le plaisir n'a pas de genre
Datte: 26/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... découvrant une attirance incontestable pour les femmes alors que jamais pareille envie ne m’avait effleuré l’esprit. Séverine avait sans doute raison de me croire bisexuelle, puisque j’avais joui, avec la même intensité, empalée sur la colonne de chair de son copain que sous les assauts de la bouche de ma petite prof si craquante avant, moi aussi, l’honorer de ma langue, me confirmant que le plaisir et l’amour n’ont aucun genre.
Le mercredi s’écoula, morose, ma jeune amante ne s’étant pas manifestée. J’étais tout à la fois triste, inquiète, en proie au doute, mal dans ma peau. En début de soirée, l’écran de mon téléphone m’avertit de la réception d’un message, je me précipitai.
À peine ces brèves lignes peu évocatrices lues, mon imagination s’emballa. Julien serait-il présent ? Était-ce une invitation pour me signifier la fin de notre relation ? Tout me semblait possible. Le lendemain, quittant le bureau un peu plus tôt, je me rendis chez le coiffeur avant de procéder à quelques emplettes, destinées à me montrer le plus possible à mon avantage face à mes jeunes voisins.
Le calendrier afficha enfin vendredi. Aussi perturbée que si je me rendais à mon premier rendez-vous, je passai un temps infini dans la salle de bains, rectifiant ceci, corrigeant cela, rasant comme demandé mon intimité, ce qui me permit de la glisser dans un magnifique body string de tulle noir et entièrement translucide, très ajouré au niveau du ventre et de la poitrine. Par-dessus, j’avais opté ...
... pour une robe mi-longue très ajustée boutonnée devant, la taille marquée par un cordon mettait en valeur mes fesses qu’avait l’air d’apprécier ma voisine, robe par ailleurs assez impudiquement fendue pour montrer que je portais des bas, et dont le décolleté ne laissait guère de doute sur le côté osé de mon sous-vêtement. Un rouge à lèvres assez vif et une paire de boucles d’oreilles me firent penser que j’étais apte à séduire ma belle d’à côté, voire son Julien, s’il était là.
Ayant hérité de mes géniteurs un respect quasi pathologique de la ponctualité, à l’heure convenue, le cœur battant la chamade, je sonnai chez mes jeunes voisins de palier. Elle était à croquer, ma Séverine, pieds nus, moulée dans un microshort blanc que retenait une large ceinture, un caraco de satin vert pâle, orné de fines dentelles, tentait de contenir les appas de ma séductrice qui m’embrassa langoureusement sur la bouche, avant de commenter ma tenue.
— Tu es absolument sublime, mon amour, plus sexy, c’est impossible, je suis jalouse, tu sais… !
Caressant mes cheveux, elle se colla contre moi et me glissa au creux de l’oreille :
— Tu me montres vite ta culotte, ma jolie friponne, que je vérifie si tu as bien fait tes devoirs ?
Je soulevai ma robe et lui exposai mon body, sur lequel elle fit courir ses doigts, passant lentement sur mon entrejambe.
— Oh là là, quelle classe, Mag, quelle élégance, on voit tout ce que tu veux nous cacher, c’est un appel à l’amour que tu as mis là, et je ...