Le plaisir n'a pas de genre
Datte: 26/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
massage,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... ma langue avec une infinie délicatesse, attendant une protestation qui ne vient pas. D’un lent mouvement circulaire, je prélève alors sur cette fleur encore fermée les sucs qui l’engluent, suivant son pourtour, revenant dans ses plis, avant de remonter le cours de ce divin filet vers sa source intarissable.
— Oh non, Mag, continue, s’il te plaît, lèche-moi encore, là, ta langue est divine, ma chérie, toi seule peux me faire une pareille caresse… lèche-moi encore le cul… Ohhhh oui… c’est fort… c’est… Mmmm… Oh, ma chérie…
Encouragée de la sorte, je laisse couler le fruit du désir et en recueille l’exsudat au plus intime de mon amante, tantôt plaquant ma langue entière pour en couvrir tout le pistil et lui imprimer de doux mouvements, tantôt menant dans toute la corolle une danse lascive, sentant alors palpiter ce petit œillet soyeux sous mon insolent appendice lingual. Ma tendre voisine me murmure des mots crus, d’autres plus sentimentaux, mais tous sont une exhortation à la mener au paroxysme, mon Graal, que je n’ai encore jamais atteint entre les cuisses d’une femme.
M’inspirant de mes récentes jouissances, j’introduis entièrement deux doigts dans le sexe trempé de ma belle et la masturbe lentement, cherchant à retarder son plaisir pour mieux le provoquer. Elle accompagne du bassin mes pénétrations digitales, me suppliant de la faire jouir au plus vite. Écartant les pétales de sa grande fleur, j’y débusque son bouton, déjà fièrement dressé, et me concentre sur lui ...
... pendant que mes doigts cherchent en elle ce point incroyable qu’elle m’a révélé hier, merci au bon Dr Gräfenberg. Comme en transe, je suce en continu le clito de Séverine et masse la paroi de son vagin avec insistance, mes doigts produisant un impressionnant clapotis, guettant son point de non-retour.
Il arrive enfin, sous la forme d’un hurlement guttural de ma chérie, de ses cuisses qui se referment soudain sur moi au moment où sa chatte expulse sur mes lèvres plusieurs petits jets de liqueur, que je lape avidement sous la pression des mains plaquant ma tête contre ce temple du plaisir.
La fureur de l’orgasme passée, je contemple, émerveillée, ma belle amante alanguie, impudique en diable, sa jolie robe troussée comme une servante lutinée, ses cuisses encore ouvertes, ses mains caressant mes cheveux pendant que son puits d’amour laisse dégorger les dernières coulées de plaisir que je recueille soigneusement du bout de ma langue, n’en voulant pas perdre la moindre goutte tellement je suis fière de l’avoir ainsi provoqué. Ma jolie prof se redressa et me prit dans ses bras, silencieuse, le regard débarrassé de l’étrange lueur que j’y avais lue.
— Tu es vraiment douée pour donner du plaisir à une femme, ma jolie gouine, sans tabou, sans retenue, c’est merveilleux. Tu me lécheras encore si je te le demande ? Bon, je dois y aller mon amour, Julien m’attend. Je t’écris au plus vite.
Nous étions mardi. En moins d’une semaine, je venais de vivre ma révolution sexuelle, me ...