Le plaisir n'a pas de genre - Histoires de Sexe

Le plaisir n'a pas de genre

... encore pire. Elle souleva ma courte jupe.

— Oh oui, Mag, je vois briller les perles de ta rosée encore accrochées au petit buisson qui cache ta fente, c’est mignon… Mais demain, petite souillon, tu vas me faire le plaisir de raser complètement ces poils disgracieux. Ta chatte est beaucoup trop belle pour me la cacher, et tu sentiras bien mieux ma langue quand je te sucerai l’abricot. Je peux compter sur toi ?
— Oui, Séverine, tu le sais bien, tu es ma professeure et je te fais confiance.
— Tu es un ange, vraiment. Reviens me masser les cuisses s’il te plaît, je me sens encore un peu tendue.

Je repris ce qui tenait bien peu du massage, mais bien de l’excitation pure, mes ongles griffant délicatement l’intérieur de ses cuisses, ma pratique n’ayant aucun rapport avec le massage des quadriceps pratiqués aux cyclistes du Tour de France. Lorsque mes doigts agiles s’aventurèrent de nouveau au-delà de la lisière des bas, je sentis ma petite salope de prof bouger un peu, se tortiller nerveusement, et je jurerais avoir senti au bout de mes doigts une moiteur que la transpiration seule ne pouvait expliquer. Complice assumée, feignant la naïveté, je fis remarquer à Séverine qu’elle transpirait sous sa robe et lui montrai mes doigts.

— Tu as raison, mon amour, j’ai chaud et je transpire un peu.

Elle se leva, je me retrouvai donc à ses genoux et ne pus m’empêcher de prendre ses cuisses à pleines mains et de les caresser sur leur face postérieure, jusqu’aux fesses, mon visage ...

... enfoui dans les plis de sa robe dont le fin tissu laissait filtrer les enivrantes fragrances de son sexe.

— Attends un peu, grande dévergondée, regarde d’abord si je transpire avant de me violer debout… !

Elle releva sa robe jusqu’aux hanches, découvrant son ventre musclé, et sa ravissante culotte de dentelle rouge pour le moins minimaliste. J’approchai mes mains de ce cache-sexe format timbre-poste pour l’en débarrasser, mais elle interrompit mon geste.

— Doucement, tu dois respecter mes consignes, chérie. Dis-moi d’abord si je transpire.

Comme je ne bougeai pas, elle sourit et s’excusa de ne pas avoir donné de directives plus précises.

— Tu vas laisser tes mains dans ton dos, et de ta langue tu vas lécher soigneusement le devant de ma culotte, puis le haut de mes cuisses afin de déterminer ce qui cause cette humidité. Vas-y, ma chérie, je vais t’aider.

Séverine passa sa main derrière ma tête, me caressa tendrement les cheveux et colla son pubis sur ma bouche. Je léchai plusieurs fois sa culotte maintenant mouillée et sentis avec délectation son musc odorant se mêler à ma salive, je bus sans retenue ce sirop d’amour et lui confirmai qu’il ne s’agissait pas de transpiration. Je promenai ensuite ma bouche tout entière sur le haut dénudé de ses cuisses si fermes et lui suggérai que, là, il pouvait bien s’agir de sudation.

— Merci, ma douce, tu es très sérieuse dans les exercices, je te félicite. Comme tu as été brillante, je t’autorise maintenant à m’ôter ...