1. Le plaisir n'a pas de genre


    Datte: 26/06/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation massage, caresses, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... code vestimentaire respecté, mais incapable de penser. Mon cerveau semblait l’otage de neurones CGT, en grève, mais mon corps, lui, frisait l’ébullition. On sonna.
    
    J’ouvris la porte sur une Séverine plus belle que jamais, en courte robe fourreau chamarrée, très près de son corps de déesse, portant bottes et sans doute bas. Le joli décolleté sur ses rondeurs constituait à lui seul un appel au péché, même pour la créature de peu de foi que j’étais. Elle m’embrassa longuement sur la bouche, passant sa langue sur mes lèvres.
    
    — Tu es ravissante, ma douce salope, et tu me rappelles quelqu’un… Tu me sers à boire ? Tu as du sirop de menthe ? Merci, ma chérie. Viens près de moi, que je vérifie si cette fois tu as respecté les consignes de ta professeure.
    
    Mon amante, assise, m’attira contre elle et glissa une main sous ma jupe, caressant mes cuisses et mes fesses du bout de ses doigts, avant de les diriger vers mon intimité nue sous ma jupe. Je frissonnai.
    
    — Quel tempérament, tu es déjà tout humide… ! Tu es insatiable, Magali, la reine des bourgeoises en rut, viens, ma chérie, viens que je te donne ta deuxième leçon.
    
    Elle se laissa tomber dans le canapé.
    
    — Enlève-moi mes bottes, trésor, et après, masse-moi les jambes. J’ai fait du sport aujourd’hui et j’ai quelques contractures. Tu es d’accord, ma jolie coquine ?
    — Oui, Séverine, et je suis contente que tu sois ma professeure, tu es très convaincante.
    
    Après lui avoir retiré ses bottes, je massais ses magnifiques ...
    ... jambes gainées de noir, remontant aussi loin que me le permettait sa robe serrée. Je massai ses mollets, pétris ses cuisses. Elle se laissa glisser profondément dans le canapé en soupirant d’aise, faisant un peu remonter son fourreau et laissant ainsi ses jambes s’écarter légèrement.
    
    — Tu es très douée, ma belle bourgeoise, tu me détends, c’est incroyable. Remonte un peu plus tes douces mains sous ma robe, mon amour, ne sois pas timide. Mmm, oui, caresse encore mes cuisses, oui, là, juste au-dessus de mes bas… tu sens comme je suis chaude ? Et toi, tu es déjà en train de polluer ton coquillage ? Montre-moi !
    
    Elle avait raison, de lui caresser ainsi les cuisses, de m’approcher toujours plus près de sa source, me mettait en émoi, je ne pouvais le cacher. Je me relevai et m’approchai d’elle. En y réfléchissant un peu, j’avais pris le parti de la laisser faire, ayant compris que cette étape de quasi-soumission lui était sans doute indispensable pour exorciser ce qu’elle avait vécu avec cette Isabelle, et me permettait à moi de me confronter avec mes fantasmes. Ma confiance en ma douce Séverine demeurait cependant pleine et entière, trop tendre et trop honnête pour se laisser aller à des pratiques excessives. Alors, décidée moi aussi à jouir(Oh, que oui… !) de la vie, j’oubliais mes quarante-quatre ans, et confiai mon éducation au plaisir à cette jeune pseudo-perverse qui me plaisait follement, en espérant que mon attitude totalement irresponsable ne rendrait pas la situation ...
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