1. Intermède imprévu


    Datte: 25/06/2025, Catégories: fh, Oral extraconj, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... luisantes de mes sucs ont dévoré les miennes, au contraire, j’ai trouvé cela excitant et j’ai poussé mes hanches vers le glaive que je voulais désormais en moi.
    
    Avec lenteur et délicatesse, mon amant m’a pénétrée, de toute la longueur de son organe mâle, sans jamais quitter mon regard.
    
    — Si tu ressens le moindre inconfort, princesse, dis-le-moi et j’arrête aussitôt, mais j’ai tellement envie de te mener au plaisir que ce serait une immense frustration.
    — Oh que non, Bertrand, c’est merveilleux, moi aussi j’ai envie de toi, je veux jouir avec toi, viens, viens… !
    
    Ainsi encouragé, mon amant d’un soir s’est montré entreprenant, alternant les pénétrations profondes avec d’autres plus timides, tantôt me tenant par les hanches tantôt ses mains malaxant mes seins devenus hypersensibles, faisant monter inexorablement chez moi une formidable envie de plaisir. J’ai eu peur lorsque Bertrand s’est retiré, j’ai cru lui avoir donné un signal négatif et il l’a lu dans mon regard.
    
    — Ne t’inquiète pas, mon adorable bourgeoise décoincée, je veux simplement que tu te retournes. Voilà, montre-moi tes affriolantes rondeurs ! Non, non, ne reste pas à plat ventre, c’est triste, mets-toi à genoux, pose ton ravissant minois sur l’oreiller et cambre tes reins de véritable madone, provoque-moi de ton fessier si excitant… ! Oui, comme ça, oh… comme c’est beau ! Je vois ta chatte brillante de miel, ta petite étoile, c’est un tableau de Maître Christiane, un appel à l’amour auquel je vais ...
    ... répondre !
    
    Pour moi, l’acte sexuel n’avait souvent revêtu qu’un air de devoir conjugal, jamais aucun homme (et en tout cas pas mon mari) n’avait su, par ses mots, me donner envie de me lâcher, de participer activement, de faire de mon corps tout entier un appel au désir. Bertrand, lui, était en train de m’initier à un aspect de ma vie bien trop longtemps négligé, et je lui faisais une confiance totale. J’ai quand même sursauté en sentant son souffle brûlant sur mon sillon fessier, juste avant que sa langue ne parcoure avec une insupportable lenteur cette vallée grande ouverte, s’arrêtant ici, insistant là, déclenchant des sensations totalement inconnues. Puis mon professeur d’amour s’est redressé et m’a embrochée d’un seul coup jusqu’à la garde, j’ai poussé un cri dont j’ignore s’il était de surprise ou de plaisir.
    
    — Bertrand, mais comment fais-tu ? Je sens que je ruisselle, je ne suis plus maîtresse de mon corps, ne me fais plus languir, je t’en supplie, délivre-moi de cette tension que tu as installée dans mes chairs.
    
    Saisissant mes hanches à pleines mains, il s’est mis à me pénétrer de plus en plus intensément, je sentais ses doigts crochés dans mes rondeurs, son pubis cognait contre mes fesses à chacun de ses coups de reins, mon vagin était comme en feu et je me suis mise à haleter de plus en plus fort, annonçant l’irréversible montée de mon orgasme.
    
    — Je vais jouir, Christiane, oh oui, je vais me déverser au plus profond de toi…
    
    J’ai tendu mes fesses pour ...
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