La vie d'Anaïs - 3 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 3

... culotte. Elle la sent, se la passe sur le visage et vient se coucher sur les genoux de Louise.

— Voilà, déculottez-moi, j’en mérite une, moi aussi j’ai goûté votre culotte.

Et elle en reçoit une bonne. Elle a le feu au cul au sens propre. Puis, Louise nous entraîne sur son lit. Nous sommes nues toutes les trois. Anita chevauche la tête de Louise et se fait manger l’abricot pendant que je mange celui de Louise. Qu’est-ce qu’elle est belle, ma chérie, comme ça, en se caressant les seins ! Puis, nous inversons plusieurs fois les rôles. C’est un concert de cris de plaisir. La cyprine gicle dans tous les sens. Pour finir, nous sommes, Anita et moi, côte à côte, le nez sur le lit et les fesses en l’air. Louise mouille ses doigts dans nos chattes et nous en enfonce deux à chacune dans les fesses, toute la longueur, bien au fond.

— Allez, branlez-vous pendant que je vous encule !

Je regarde Anita sur le côté, elle me regarde aussi. On se rapproche, on s’embrasse. On entend le bruit mouillé de nos chattes.

— Oh, Anaïs, je jouis ! Ahhh, c’est bon ! Je t’aime.
— Oh, mon amour, je jouis aussi ! Oh que c’est fort ! Ahhh !

Quand Louise revient du lavabo, nous sommes enlacées en train de nous bécoter, de nous caresser le visage en disant des mots d’amour.

— Oh, mon Dieu que vous êtes belles toutes les deux ! Vous respirez le bonheur. Si vous saviez comme je suis heureuse pour vous. Si un jour vous décidez d’habiter ensemble, j’ai un beau quatre pièces dans le centre qui vous irait à merveille. Je ne le loue pas, de crainte des mauvais locataires comme je ne suis pas sur place, mais vous… je serais tellement contente de participer à votre bonheur.
— Un quatre pièces dans le centre ? Ça risque d’être au-dessus de nos moyens.
— Même si je le fais au même prix qu’ici ?

C’est dit, le vers est dans le fruit.