1. La vie d'Anaïs - 3


    Datte: 23/06/2025, Catégories: ff, fff, Collègues / Travail amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme lesbos, dominatio, Auteur: Anaïs Soumise, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Je profite d’un mois de congés annuels pour effectuer ma période d’essai au centre culturel. Dans un premier temps, je dois gérer le planning du personnel. Je commence à neuf heures, comme Sophie, à l’accueil. Madame Julia, la directrice, arrive toujours beaucoup plus tard. Le centre n’ouvre au public qu’à dix heures.
    
    Il y a tout un rituel matinal. En arrivant, je monte à mon bureau, Sophie me rejoint. On se dit bonjour en se serrant l’une contre l’autre, on échange un long baiser. J’ai les bras autour de son cou et elle me caresse les fesses. Elle me fait toujours des propositions indécentes :
    
    Le ton est donné. Quand madame Julia arrive, je dois d’abord montrer mes dessous du jour. Puis, je lui apporte son café. Si elle est seule, je dois ouvrir mon chemisier et lui offrir mes tétons. Si elle n’est pas seule, je dois montrer ma culotte au visiteur. Pour cela, j’ai ma chaise dans son bureau, il y a une barre devant à mi-hauteur. Quand je mets les pieds dessus, mes genoux remontent bien haut. Il me suffit d’écarter un peu les cuisses et d’être en face du visiteur. Parfois, je dois le faire juste pour elle, et là, je dois me caresser. En général, je passe sous le bureau pas longtemps après.
    
    Madame Julia décide de me fournir une tenue de travail. Il s’agit d’une robe/blouse blanche en nylon, boutonnée sur le devant, qui m’arrive à mi-cuisses. On voit ma culotte à travers, et mes bouts-de-sein, n’en parlons pas. J’ai vraiment l’air ...
    ... d’une allumeuse. Tout le monde me suit du regard, les clients comme le personnel. Je surprends des conversations chuchotées.
    
    Je peux taquiner Sophie, je montre ma culotte aux deux femmes de ménage. Tous les matins au vestiaire, quand j’arrive, elles partent. Pour passer ma blouse, je dois retirer jupe et débardeur. J’ai l’impression qu’elles m’attendent, car elles sont déjà prêtes à partir et elles ne partent pas. Je me jette à l’eau, je me déshabille. J’entends unoh la la, quand les deux Antillaises voient mes tétons.
    
    — Mon Dieu, je n’en ai jamais vu d’aussi gros. Ils sont magnifiques.
    — Vous permettez que je les touche, juste une fois.
    
    En l’absence de réponse de ma part, elles me titillent chacune un bout de sein. Malgré moi, je soupire et laisse échapper un petit gémissement.
    
    — On dirait que la p’tite dame est bien sensible de là.
    — Arrêtez ! Laissez-moi ! la directrice m’attend.
    — Oh la menteuse, à cette heure là elle n’est jamais arrivée. Tu as de la chance, on a le bus à prendre.
    — Allez, enfile ta blouse qu’on voit ça. Ouaouh ! Quelle allure ! La salooope !
    — Demain, tu te pointes ici à huit heures, tu nous attends en culotte, compris ?
    
    Il est presque huit heures, j’attends en culotte comme demandé. Ce matin, je porte mon plug. Je sais que je vais être malmenée, j’en ai envie. Je m’allonge sur le banc, les pieds au sol de chaque côté, j’ai les jambes bien écartées. Je tends les bras au-dessus de la tête, j’ai les seins offerts. Elles arrivent. Ou ...
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