1. La vie d'Anaïs - 3


    Datte: 23/06/2025, Catégories: ff, fff, Collègues / Travail amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme lesbos, dominatio, Auteur: Anaïs Soumise, Source: Revebebe

    ... en larmes.
    
    — Sniff, Je le veux, sniff, oh, que ces mots sont doux ! Je suis heureuse comme jamais.
    — Eh bien, nous allons procéder à la mise en place du bijou et après, tu me mettras le mien.
    
    En deux secondes, elle a le nez dans l’oreiller, les fesses en l’air. Je lui lèche le petit trou, je rentre ma langue dedans, je pousse ma salive le plus loin possible. Ma chatte coule, j’y mets le plug pour le lubrifier puis je pousse sur l’anus d’Anita.
    
    — Ahhh, que c’est gros, tu me déchires, vas-y, mets tout.
    — Et voilà, ma sœur jumelle est une enculée. Oh que c’est joli ! Ça te va bien.
    — À ton tour.
    
    Nous sommes toutes les deux garnies, on se montre, on se touche, on joue devant le grand miroir, on se compare. Nous tombons d’accord pour dire que nous sommes exactement foutues pareilles – sauf les tétons qui sont beaucoup plus gros chez moi et sa couleur de peau marron clair qui contraste avec ma peau blanche. On va pouvoir faire garde-robe commune.
    
    Il faut fêter çà, Anita sort une bouteille de champagne et deux flûtes. Entre deux gorgées, on se grignote l’abricot. On n’arrête pas de jouir. On est toutes les deux barbouillées de cyprine, un peu pompettes. On dit n’importe quoi.
    
    — À la santé des deux plus belles enculées du monde !
    — On va se présenter au concours de miss salope.
    — Humm, ton jus est meilleur que le champagne.
    — Embrasse-moi encore ! Misère, la bouteille est vide.
    
    Même pour circuler dans l’appartement, on ne se lâche pas la main. Le champagne ...
    ... aidant, je me dirige vers les toilettes.
    
    — Dis, Anaïs, tu ne veux pas qu’on essaie toutes les deux ? J’ai envie aussi. Viens dans la douche !
    
    Anita s’accroupit dans la douche, sa main s’agite entre ses cuisses. Elle ouvre grand la bouche. J’avance le ventre vers son visage et je l’arrose copieusement de pisse. Elle en a partout, ça lui coule sur la chatte.
    
    — Retiens-toi, ne jouis pas !
    
    Puis nous inversons les rôles. Je lui enfile deux doigts dans la minette et je commence des va-et-vient.
    
    — Caresse-toi le bouton en même temps et pisse quand tu jouis !
    
    Anita se caresse à toute vitesse, le ventre en avant, les cuisses écartées. Oh qu’elle est belle comme ça ! Je sens des contractions sur mes doigts, elle va jouir. Je rapproche mon visage.
    
    — Ahhh, mon Dieu, je jouis, je pisse, oh, que c’est bon ! On ne m’a jamais fait ça. C’est merveilleux, tu es merveilleuse.
    
    Nous sommes toutes les deux assises au fond du bac. On s’embrasse, on se lèche, on se traite de pisseuses, de cochonnes. On se dit qu’on pue la pisse. Nous nous lavons mutuellement avant de nous sécher et de nous allonger sur le lit. Un peu plus tard, nous commandons des pizzas pour reprendre des forces. Anita me demande de dormir avec elle cette nuit. J’en ai très envie aussi. C’est la première fois que je dors avec quelqu’un. Dans les bras l’une de l’autre, les jambes emmêlées, seins contre seins, bouche contre bouche. Là, c’est plus que du sexe, plus que du vice, je suis amoureuse. Anita devine ...
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