La vie d'Anaïs - 3
Datte: 23/06/2025,
Catégories:
ff,
fff,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
lesbos,
dominatio,
Auteur: Anaïs Soumise, Source: Revebebe
... petit deux-pièces en centre-ville. En réalité, c’est plutôt un interrogatoire. Elle veut tout savoir sur mon art de vivre, à quoi je suis soumise. Je lui raconte tout, mes exhibitions forcées ou non, les fessées, les gifles, les humiliations publiques, les insultes, les tortures de mes tétons, Les séances de léchage, je lui avoue même que je me fais pisser dessus et que tout çà me fait mouiller et jouir sans arrêt.
— D’ailleurs, tu vois, le fait de te dire tout ça, je mouille ma culotte.
— Si tu veux savoir, moi aussi, je suis trempée, on se déshabille ?
On se met nues et on échange nos culottes. On se regarde dans les yeux pour les renifler, les lécher en se traitant mutuellement de cochonnes, puis on se jette dans les bras l’une de l’autre. On s’embrasse, on se frotte les tétons les uns contre les autres. J’aime sa peau marron clair sur ma peau blanche. Anita m’attire dans la chambre et déplie une grande serviette sur le lit, puis elle ouvre un tiroir de la table de nuit et sort une collection de godes, en cas… Mais il ne se passe rien, il y a comme un blanc. Enfin, elle se décide à parler.
— Si je te demande de venir, c’est pour te dire des choses importantes. Alors s’il te plaît, ne me regarde pas(elle place un oreiller entre nos deux visages) et ne m’interromps pas. Après, tu peux partir sans rien dire si tu le veux ou bien rester si je ne te déçois pas.
— Oouuh là là, tu me fais peur, donne-moi ta main, je t’écoute.
— Voilà, j’ai un vrai coup de foudre pour ...
... toi depuis la première fois que l’on s’est vues. Mieux te connaître me permet de m’avouer à moi-même ma véritable nature. Je crois que je suis comme toi. Jour et nuit, je mouille ma culotte en m’imaginant subir tout ce que tu subis. Jusqu’à te connaître, c’était enfoui en moi très profond, comme une maladie honteuse. Ma famille ne peut pas comprendre que j’aime les femmes et, pire encore, que je leur sois soumise. Alors voilà, je veux devenir ta compagne, ta complice, faire tout comme toi et avec toi. Je rêve qu’Anaïs et Anita soient des sœurs jumelles, qu’elles ne fassent plus qu’une, qu’elles se disent tout. Voilà, j’ai tout dit.
— Et ta tante ? Nous finirons bien par la recroiser.
— Et bien tant pis, elle saura. Si elle tient sa langue, tant mieux, sinon tant pis, ma famille, ce sera toi.
J’attrape l’oreiller qui nous sépare et je le jette loin. Je me lève et sors précipitamment de la chambre pour aller fouiller dans mon sac à main. J’entends Anita éclater en sanglots. Elle a dû croire que je partais.
— Andouille ! Tu ne penses quand même pas que je vais partir toute nue quand même ? Lève-toi !
Anita est debout, je m’agenouille devant elle et je sors de derrière mon dos une petite boîte avec un ruban autour. Je la lui donne, elle la déballe et, au moment où elle l’ouvre :
— Ma demoiselle Anita, voulez-vous prendre pour sœur jumelle, votre amie Anaïs ici présente ?
Dans la boîte, il y a le même plug que le mien, mais avec un bijou brillant blanc. Elle fond ...