Le grand jour
Datte: 18/06/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
intermast,
Oral
fdanus,
jouet,
lavement,
uro,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... d’une suite dont je commençais à apprécier l’approche. Est-ce tout, déjà ?
Ce n’était qu’une pause, le temps que ma Maîtresse se place pour atteindre convenablement ma chatte. Je retrouve la tiédeur de l’onction qui tourmente délicieusement le prurit des chairs. J’observe en soupirant d’aise ce flot dru qui les baigne et m’inquiète qu’il se tarisse bientôt. Alors, sans y être invitée, n’écoutant que la pulsion qui m’y pousse, j’écarte à deux mains mes lèvres pour accueillir au plus profond de mon intimité ce baptême bizarre. Je me laisse violer par la pisse de la femme qui me domine avec la conviction de lui offrir la preuve définitive de mon affection. Ou de mon amour ? Cette seule pensée me fait tendrement jouir.
— Merci Maîtresse, communie-je dans un quasi-sanglot de joie.
Elle se penche pour me caresser la joue, puis se ravise et tombe à genoux pour m’enlacer. Je me serre contre elle en frémissant de bonheur. Tant pis pour sa parure de domina, ni elle ni moi ne nous soucions de l’humidité douteuse dont je la macule. Mes seins s’écrasent sur les siens, sa chatte épouse mon pubis. Mes tétons en pâtissent, sa vulve est trempée, je n’ai cure autant des uns que de l’autre. Elle non plus. Ce qui nous occupe, ce sont nos bouches et nos langues mêlées dans le baiser qui nous unit à en perdre le souffle.
— Maîtresse… dis-je timidement en reprenant haleine.
— Oui, Chantal ?
La réponse par le prénom signifie sans doute la fin de ma position de soumise et d’une ...
... façon délicate dont je lui suis reconnaissante. J’aimerais malgré tout prolonger cette relation dans laquelle j’ai trouvé une satisfaction jamais atteinte. Une tentation nouvelle aussi me titille qui m’incite encore plus à répéter ma question.
— Maîtresse, puis-je vous donner du plaisir ? Puis-je vous lécher ?
— Tu veux lécher ma moule pleine de pisse ? Tu es vraiment une grosse cochonne !
— Oui Maîtresse, admets-je toute contente qu’elle accepte de reprendre son rôle.
— Tu as été une bonne soumise. Je veux bien te faire plaisir.
Elle affecte un ton de condescendance méprisante, mais je vois bien dans ses yeux qu’en fait elle est ravie. Je me recouche sur le dos tandis qu’elle s’installe plus commodément vers mon visage, et je suis tout à coup prise de timidité. À la voir écarter de nouveau avec les créoles ses longues petites lèvres, ces nymphéas que j’adore, je ne suis plus sûre de mon désir. L’entaille est brillante de sucs et de pipi, surtout de pipi. Elle attend ma caresse. Si le contact, le goût, me donnait un haut le cœur ? Je respire un grand coup et l’odeur me rassure.
J’ai connu ce parfum, hier soir. Il est seulement plus acre, plus frais, plus attirant. Je tâte, de la pointe de la langue, par touches légères que j’analyse. C’est salé, c’est acide, d’une saveur indéfinissable. J’y retourne, plus franchement. J’aime ! C’est bon, je retrouve le moelleux des muqueuses, les milles détails de ce con soyeux rehaussés du bouquet de l’urine. J’y colle ma bouche, ...