1. Le grand jour


    Datte: 18/06/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), intermast, Oral fdanus, jouet, lavement, uro, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    À mon réveil, les petits oiseaux chantent dans les arbres. Je sais, je l’ai déjà écrit, mais c’est le quotidien du matin des beaux jours dans le petit coin de paradis où s’est retirée Colette, mon hôtesse et éducatrice.
    
    Je suis seule dans son lit aux draps chiffonnés et humides – trempés devrais-je dire – comme j’en ai pris l’habitude. Pas de quoi s’inquiéter : elle doit être en train de pratiquer sa gym. La couette est repoussée à mes pieds, presque à tomber. Nous étions suffisamment échauffées cette nuit pour la négliger. J’ai un peu plus frais maintenant, et je la récupère pour me glisser dessous avec délice. Le bonheur de s’autoriser à sommeiller sous sa douillette protection…
    
    Pas pour longtemps ! Un sonore « Allez ! Debout, paresseuse ! » me presse d’ouvrir un œil léthargique. L’image que j’aperçois me renvoie à mon premier lever ici. Le même bustier noir sangle Colette. Ses seins en débordent avec les mêmes pinces plombées étranglant ses longs tétons. Ce qui diffère, c’est la paire de grandes et lourdes créoles qui orne ses petites lèvres hypertrophiées. Les tintements cristallins quand elles s’entrechoquent en révèlent le bronze.
    
    — Allons, reprend-elle, il est temps de se lever. C’est le moment de montrer ce que tu vaux !
    
    Elle m’arrache à la fois la couette et ma douce quiétude tout en tapotant d’une fine badine le corps nu qu’elle met au jour. Ce n’est pas vraiment douloureux mais ça réveille ! La mémoire revient avec ...
    ... la pleine conscience. Elle m’a promis de m’offrir aujourd’hui une vraie séance d’initiation à la souffrance et aux jouissances qui l’accompagnent. Autant entrer tout de suite dans le jeu en lui exposant mon anatomie sans réserve ni pudeur.
    
    — Oui Maîtresse, dis-je en pigeonnant mes seins entre mes mains et en ouvrant mes cuisses.
    
    Elle taquine les uns et les autres du bout de sa badine avant de piquer ma chatte de la pointe. L’humilité de mon exhibition lui plaît.
    
    — Debout, répète-t-elle. Tu es toute poisseuse. Je te donne dix minutes pour faire ta toilette et venir me rejoindre. Je t’attends là-bas.
    
    Elle a désigné la pièce qui fait face à sa chambre de l’autre côté du salon de réception, celle qui fait office de donjon chambre d’amies. J’ai compris, je me passerai de petit-déjeuner. Je file en vitesse, et en tenue d’Ève, au rez-de-chaussée pour expédier mes petites affaires et prendre une douche.
    
    — Tu as trente secondes de retard, déclare Colette quand je me présente à elle. Tu te souviens du tarif ?
    — Oui Maîtresse.
    — Tends tes fesses.
    
    Je reçois docilement les trois coups de badine, selon le règlement du Domaine Diotime qu’elle m’a rapporté. Ils me cinglent sans plus, tout à fait supportables.
    
    — Monte sur le trône, ordonne t’elle en m’indiquant du doigt la cuvette à la turque oblongue et surélevée.
    — Mais Col… heu, Maîtresse, j’ai eu le temps de…
    — J’espère bien ! Tais-toi et obéis ! Tu te penches et tu ouvres ton cul !
    
    L’humiliation, bien sûr ! ...
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