1. Le grand jour


    Datte: 18/06/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), intermast, Oral fdanus, jouet, lavement, uro, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... J’obtempère en tout ce qui m’est imposé, non sans jeter à l’envers un œil entre mes jambes. Colette, pardon ! Ma Maîtresse adapte une sorte de lance étroite à la douchette qui sert de chasse d’eau et surprend mon regard. Sa réaction m’étonne.
    
    — C’est bien. Redresse-toi et tourne-toi vers moi.
    
    Je m’attendais à être grondée, je m’exécute avec soulagement.
    
    — Avant que nous passions aux choses sérieuses, donne-moi ton mot de sécurité.
    
    Elle me demande quoi, là, Maîtresse Colette ? (Oui, je ruse un peu, mais en la dénommant ainsi dans ma tête je ne risque pas de me tromper.) Mon air interrogateur doit me faire paraître stupide car elle soupire. En fait, non, c’est elle qui s’excuse.
    
    — Pardon Chantal. J’aurais dû vous expliquer cela avant. C’est une convention entre la maîtresse ou le maître et la soumise ou le soumis, pour tout arrêter sur le champ si l’un ou l’autre estime que le jeu va trop loin. Vous choisissez n’importe quel mot et vous me le dites. Je ne tiendrai pas compte de vos cris, de vos pleurs, de vos refus, ni de vos supplications, sauf quand vous prononcerez ce mot parce que vous sentirez que vous allez dépasser les limites du supportable pour vous.
    — D’accord, Colette (je peux, puisque le jeu est suspendu). J’ai compris, merci, laissez-moi réfléchir.
    
    Quel diable de mot puis-je trouver, comme ça, au débotté ? Un mot assez inhabituel pour ne pas le dire par erreur, et assez facile à mémoriser sans risquer d’oublier… Ça y est, j’y suis !
    
    — « ...
    ... Diotima », Maîtresse.
    
    Un grand éclat de rire me répond, suivit d’un regard suspicieux.
    
    — Où as-tu pris ce mot ?
    — Pardon Maîtresse. C’est à cause du Domaine de vos récits, j’ai pensé au nom que vous lui donnez, en le féminisant, pour m’en souvenir. Dois-je en changer, Maîtresse ?
    — Non, garde-le. Moi non plus je ne l’oublierai pas : c’est le nom d’artiste que j’ai choisi après ma formation. « Diotima » donc, c’est bien. Reprenons.
    
    Elle finit de visser son outil à la douchette, puis s’agace de me voir rester indécise.
    
    — Hé bien ! Reprends ta pose, allez vite, le cul ouvert !
    
    Je m’empresse d’obéir et d’écarter mes fesses à pleines mains en devinant plus ou moins la suite. Je ne sais pas lequel elle va choisir, mais je lui présente le trou de mon cul et le trou de ma chatte aussi largement que je peux. Ce n’est peut-être qu’un jeu, c’est malgré tout un peu angoissant de s’exposer soi-même de façon obscène. Excitant aussi, pour être honnête.
    
    — Tu as déjà eu un lavement, je suppose, déclare Maîtresse Colette comme si c’était une chose courante.
    — Non, Maîtresse.
    — Jamais ? Quand tu étais petite fille, non ? Bon ! Ce sera ton baptême, alors, rit-elle.
    — Est-ce que c’est obligé, Maîtresse ?
    — Tu seras punie pour cette question, gronde-t-elle. Primo, tu n’as pas à discuter mes décisions. Secundo, si j’ai envie de te mettre un doigt ou deux, ou plus, dans le cul, je n’ai pas envie de me salir. Compris ?
    — Oui Maîtresse. Pardon Maîtresse.
    
    Elle ne semble pas si ...
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