Le grand jour
Datte: 18/06/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
intermast,
Oral
fdanus,
jouet,
lavement,
uro,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... de ces objectifs ne me semble sur l’instant atteignable. Je m’y efforce pourtant, et j’y parviens, plus vite que j’aurais pu l’espérer. Il n’a fallu que quelques dizaines de secondes pour que les contraintes qui oppriment mes nymphes deviennent supportables, voire agréables si j’évite de spéculer sur les effets de leur desserrement.
— Merci Maîtresse, puis-je articuler d’une voix blanche mais ferme.
Toujours ce demi sourire, ce regard perçant qu’elle m’adresse quand je prononce la phrase rituelle. Elle m’étudie, elle évalue mes progrès et mes lacunes. Je me sens comme une élève devant elle qui assume parfaitement le rôle de préceptrice. J’en éprouve crainte et fierté. Peur de la décevoir, regret de mes faiblesses, bonheur de les surmonter, orgueil de la satisfaire, autant de sentiments prégnants qui se mêlent en moi. Lequel l’emportera au bout du compte ? Et surtout, quel sera son verdict ? Je voudrais tellement lui montrer mon respect et mon amour !
— Offre-moi ton bouton.
Hein ?!! Sa demande gentiment formulée me dégrise. Je crois, j’espère, avoir mal compris. Ses yeux me scrutent. Plus de doute à nourrir, c’est mon clitoris qu’elle réclame. Elle me met au défi d’accepter un niveau supérieur de tourments, ou de sortir du jeu. Je pense avoir déjà prouvé ma valeur, je crois pouvoir me retirer sans honte. Pourquoi cette petite voix dans ma tête me suggère t’elle non « Diotima », mais « si tu abandonnes, tu ne sauras pas » ?
— Oui Maîtresse.
— Tire sur les ...
... pinces pour ouvrir ta chatte.
Mes mains tremblent en saisissant l’extrémité des pinces. Mes petites lèvres suivent le mouvement. Curieuse sensation de s’infliger une douleur soi-même. Comme lorsqu’on agace de la langue une dent qui vous fait mal. C’est désagréable, ça n’arrange rien, mais on ne peut pas s’en passer. J’écarquille ma fente plus que nécessaire. Je ne sais pas si la cible ressort mieux ainsi, mais mon excitation augmente avec le surcroît d’étirement que je m’impose. Les doigts de Maîtresse Colette s’approchent de ma chatte.
— Hummmmm !!
Elle branle mon clito, c’est divin ! Je me laisse aller au plaisir. Qu’elle n’arrête pas, surtout ! Le petit bourgeon durcit, je le sens. Il se gonfle, la pression des doigts est plus forte. Mon ventre bout, je vais éclore. Encore un effort et…
Je me plie en deux, le souffle coupé. La morsure m’a surprise en pleine montée au ciel, la souffrance me subjugue. La terre se dérobe, tout tourne autour de moi.
— Redresse-toi !
J’ai besoin de son aide pour me tenir debout. Je n’ose pas regarder en bas. Ma tête carillonne dans le vide. Je ne ressens rien d’autre qu’une immense lassitude et les bras de ma Maîtresse qui me soutiennent. Son étreinte est un réconfort, ses seins une caresse, sa voix une berceuse : « un, deux, trois… »
— …, neuf, dix !
La douleur qui me réveille est une vieille connaissance. Elle se répand en moi au rythme du sang qui revient dans les organes méthodiquement libérés, du clitoris au vagin, des ...