1. Le grand appartement


    Datte: 17/06/2025, Catégories: fh, fplusag, douche, extraconj, diffage, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... et allèrent jusqu’au lit sur lequel ils se jetèrent pour forniquer aussitôt. Antoine avait déjà retrouvé toute sa puissance, son engin bien dur. Olympia écarta les cuisses et il la pénétra aussitôt. Ils baisèrent longtemps, changeant régulièrement de position. Ils dirent tout ce que disent les amants quand ils copulent.
    
    — Vous êtes tellement belle !
    — Baise-moi, petit salaud, j’en ai trop envie ! Oui, c’est ça, oui, oui, comme ça, ouiiii !
    — Vous avez un petit con tout à fait bien, Olympia, il est juste fait pour ma bite. Tournez-vous, je n’ai pas assez profité de votre gros cul.
    — Oh mon dieu ! Tu as un si gros truc ! Tu me remplis toute ! Tu ne pouvais pas le dire plus tôt que tu avais une aussi grosse queue ! Je t’aurais baisé dès le premier jour si j’avais su.
    — Vous êtes une vraie salope, hein, je n’avais pas compris ça, moi, que vous étiez aussi salope.
    — Tu vas arrêter de me vouvoyer, petit salaud, ça me fait jouir !
    — Vous êtes un ange, Madame Azoulay, un ange à gros cul, c’est pour ça que je vous vouvoie. Je vous aime, je vous aime, je vous aime.
    — Tu as les fesses dures, j’ai toujours aimé les mecs qui ont les fesses dures. Mais pourquoi tu es si gentil avec une vieille comme moi ?
    
    Dans les jours qui suivirent cette première fois, ils forniquèrent de multiples fois et dans toutes les pièces de la maison. Antoine prit Olympia devant l’évier de la cuisine pendant qu’elle épluchait des carottes. Il arriva simplement derrière elle, écarta sa culotte, elle ...
    ... ne portait rien d’autre, et l’enfila. Son amante le suça dans le bureau tandis qu’il tentait de se remettre à son mémoire.« Tu es si beau quand tu écris, je n’ai pas résisté ». Il la prit sur le canapé, sur la table du salon, dans la buanderie. Elle le chevaucha et il la fessa. Rien n’était interdit, tout était nouveau pour lui, tout redevenait possible pour elle. Ils étaient comme ivres, la tête leur tournait, ils riaient sans savoir pourquoi. Ils se regardaient pendant des heures avec des yeux flous et un sourire idiot sur les lèvres.
    
    Ensuite, au bout de cinq jours, alors qu’ils avaient les organes sexuels si douloureux qu’ils eurent besoin d’une pause, Olympia tenta de se reprendre. Elle enfila un pantalon et un soutien-gorge pour la première fois depuis le début de leur aventure, elle convoqua Antoine au salon aussi sérieusement que possible et refusa de s’asseoir sur ses genoux.
    
    — Mon petit Antoine, dit-elle en lui caressant la joue, tu me fais vivre un vrai rêve, tu sais. Mais malheureusement, les rêves finissent toujours quand on se réveille. Moi, je voudrais que cela ne finisse jamais, qu’on ne se réveille pas mais c’est toujours ce qui arrive, c’est la vie.
    — Mais, Olympia…
    — Laisse-moi finir, mon petit, je sais que c’est difficile, mais c’est pour moi que c’est le plus dur, je te l’assure. Nous sommes dans notre bulle mais un jour il faudra en sortir, et alors tu te rendras compte que je suis plus âgée que ta mère, tu retourneras à la fac et tu verras Noémie ...
«12...121314...17»