Le grand appartement
Datte: 17/06/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
douche,
extraconj,
diffage,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... avait peur de faire n’importe quoi. Mais Antoine ne voulait pas la prendre, pas encore, il voulait la faire jouir, c’était son projet et il s’y tenait, il pressait, il frottait, il lui embrassait le cou, lui mordait l’épaule tant et si bien qu’elle lâcha prise, elle laissa faire, elle fut soudain toute molle et le jus coulait bouillant entre ses cuisses. Elle eut un orgasme dévastateur, peut-être n’en avait-elle jamais connu un pareil, elle crut qu’elle allait perdre connaissance et elle se mit à pleurer. Antoine la tenait serrée entre ses bras, il lui demanda pardon, il remit en route le jet d’eau chaude et il l’attira avec lui sous la cascade et ils restèrent ainsi de longues minutes immobiles, le silence seulement troublé par l’eau sur leurs corps et les pleurs d’Olympia.
Lorsqu’elle se fut calmée, elle s’écarta de lui.
— Tu es beau, Antoine, dit-elle en l’observant tandis que l’eau ruisselait toujours sur eux. Tu es un amant merveilleux et tu es beau. Tu es parfait. Laisse-moi te savonner à mon tour.
Elle coupa l’eau et reprit la fleur de douche qu’elle imprégna de gel. Elle s’approcha de son amant et lui frotta la poitrine et les épaules, lentement, en cercles concentriques, puis ce fut son ventre et ce fut toujours aussi lent et minutieux. Ensuite, elle s’accroupit, laissa tomber la fleur et savonna la bite d’Antoine à pleines mains avec le même sérieux, le visage à quelques centimètres du membre dressé. Elle avait de petites mains et Antoine avait ...
... l’impression d’être un éléphant avec une trompe énorme. Elle leva les yeux vers lui, Antoine ne les avait jamais vus aussi verts, comme si l’eau qui venait de les laver avait emporté toutes les impuretés de ses iris. Il vit aussi dans ce regard à quel point elle était déterminée à le faire jouir.
— Tu as une grosse queue, dit-elle, et elle commença à le masturber.
Avec deux mains, tout d’abord, puis avec une seule tandis que l’autre lui massait les couilles. Antoine ferma les yeux, la main chaude le branlait de plus en plus vite. Le plaisir montait en lui, il imaginait son sperme sur le visage d’Olympia et cela le mit mal à l’aise. Il eut presqu’envie de tout arrêter, de se soustraire à la caresse, il avait honte, se sentait comme une bête pleine de foutre, mais Olympia continuait sans se lasser, toujours plus vite. Alors à son tour il se laissa aller, il éjacula, de grosses rasades qui giclaient partout, une autre et encore une autre. Quand il eut fini et qu’il ouvrit les yeux, Olympia rouvrait l’eau et le lavait à nouveau, avec attention. Elle souriait.
— Tu en avais vraiment besoin, mon petit. Je crois que je n’ai jamais vu autant de jute sortir d’une queue. Mais j’espère que tu en as encore pour me faire l’amour, parce que je te veux, tu sais. Je te veux en moi, dans mon lit. Tu veux aussi ? Tu crois que tu pourras ? Tu es si mignon. Viens.
Et elle le prit par la queue pour l’entraîner derrière elle. Ils quittèrent la cabine de douche, ruisselants, laissant l’eau couler ...