Jouissances et soumission
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
orties,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... chacune dans ses questions. Pas pour longtemps.
— Dépêche-toi d’aller faire ton pipi, ma chérie !
— Oui Colette, tout de suite.
— Et n’oublie pas de faire appel à notre soubrette, en revenant. On te sent d’ici !
— Euh… Oui, Colette…
— Sinon, pas de petit-déjeuner !
Charme rompu et dilemmes tranchés, les rires que j’entends ponctuent ce court échange et sanctionnent le départ de la gamine. Je ne la vois pas, mais je l’imagine rougissante sous les taquineries qui accompagnent sa visite au carré réservé, comme le jour où elle a exposé sa minette pour la faire épiler. Joli souvenir, d’ailleurs. Je n’avais noté qu’une odeur de crevette, à l’époque…
La voici qui revient dans mon champ de vision, de dos. Elle semble hésiter à s’asseoir sur le siège, probablement décoré de traces humides qui l’intimident. Un conseil claironné confirme mes suppositions.
— Évite de salir mon châle, s’il te plaît, ma chérie !
Anaïs acquiesce, soupire un petit peu, et se décide à quitter le voile. Je peux me repaître de sa silhouette déliée, de ses jambes fines et de ses fesses en pomme. Elle se pose enfin, et m’offre la vue plaisante de ses seins pointus aux framboises tendues par l’émotion. Mais elle garde les cuisses serrées. Touchant ce retour de pudibonderie après toutes les libertés prises hier, et quelques privautés admises le soir. Sauf qu’il m’embarrasse. Que faire ?
J’opte pour l’initiative, au risque d’en être punie. J’utilise mes mains pour forcer ses genoux. Elle ...
... résiste une seconde, puis accepte de les ouvrir. Oui, c’est un fait, le parfum est puissant ! Rien à voir avec la savonnette. Cette chatonne-là sent la chatte à plein nez. Je soupçonne son initiatrice de lui avoir fait donner tout ce qu’elle pouvait produire dans une séance prolongée, source de transpirations corporelles et intimes. La douche, cette nuit, dut lui être interdite, et le pissou récent ne l’a pas remplacée, au contraire…
Qu’importe, je suis là pour laver et je fais mon devoir ! J’avance mon museau et mon nez se marie avec les boucles noires. Ma bouche croise les deux fuseaux bombés des lèvres, et les miennes les couvrent d’un filet de salive. Ma langue, parcourant les amandes des nymphes, cherche à les écarter, y parvient et s’infiltre. La saveur qui me vient est grassement corsée des sécrétions cachées dans les replis secrets. La gamine a mouillé même dans son sommeil, retenant ses senteurs dans son intimité. Mais l’urine du jour les aura exaltées.
Grâce de la tendresse : loin d’être repoussée par ces remugles forts, je me sens attirée. Ma pitié pour sa gêne se renforce et je veux, de tout mon cœur de femme, lui montrer que les sucs qui embaument sa vulve, ne prouvent que l’acmé d’un désir amoureux.
— Vous sentez bon, Maîtresse, et vous avez bon goût.
Je murmure ces mots tout en léchant sa chatte, et, est-ce leur effet ou celui de ma langue, elle s’ouvre, d’abord timidement, puis soudain franchement, accueillant la caresse dans l’onctuosité d’un vagin ...