1. Jouissances et soumission


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fdanus, fouetfesse, orties, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... inexpert, et pourtant si brûlant. Sucs, sécrétions, gouttelettes, tout passe par ma bouche. Ma salive en retour remplace cette engeance et, bientôt, les saveurs perdent de leur puissance. Je persiste et gougnotte, encore et encore.
    
    Les senteurs de marée elles aussi s’effacent et des fragrances neuves s’installent à leur place. J’atteins enfin l’alpha de son odeur intime, des effluves de pêche enchantent mes narines. Une jeune cyprine, épaisse, et blanchâtre, ne laisse à mes papilles qu’un petit goût poivré. Le besoin de jouir va surmonter la honte, je le sais, je suis passée par les mêmes arcanes. Et si je l’ignorais, la pointe du clito, dure et frémissante, me le signifierait.
    
    Je m’arrête. J’ai rempli de mon mieux ma tâche de soubrette. Ma Maîtresse Anaïs est propre, fraîche et nette. Lui donner du plaisir dépasserait mon rôle. Cela m’est interdit, tout au moins, je le crois. J’offrirais néanmoins, sans regret, mes seins, mon cul, ma chatte, à la cravache, et plus, pour aller jusqu’au bout, qu’exulte sous ma langue cette douce minette. Mais c’est partie remise, je me le suis promis !
    
    — Ne nous fais plus languir, ma chérie ! Tu dois être récurée à fond, maintenant. Amène ta soumise avec toi.
    — Oui Colette, je viens.
    
    La Maîtresse a parlé, sa chérie obéit. Je la suis tête basse. Peut-être, en effet, vais-je être punie pour avoir léchouillé trop longtemps Anaïs…
    
    Cœur battant, je me tiens respectueusement à un mètre cinquante de la table aux Maîtresses et ...
    ... reprends l’attitude humble de soumise docile. Mains posées sur ma nuque pour exposer mes seins, jambes bien écartées pour dégager ma chatte, j’attends mon jugement et la peine encourue. Rien ne vient, si ce n’est des considérations sur ma pauvre personne.
    
    — As-tu mis longtemps pour la former ? Elle est très efficace, dit Maîtresse Janine.
    — Quelques jours pour la théorie, un autre pour l’initier, lui explique ma Maîtresse. C’est son deuxième, pour votre plaisir, mes chéries !
    — Deux jours seulement ? Elle est douée, remarque Maîtresse Bénédicte. Ou bien elle apprend vite, ma chère Colette.
    — Oui, hein ? Ce n’est pas comme toi, la taquine celle-ci.
    — Hum, il y a encore des choses à lui apprendre, constate Maîtresse Martine. Il ne faudra pas ménager les punitions pour qu’elle s’améliore et devienne parfaite.
    — Oh, elle est déjà très bien, me défend Maîtresse Marie – ma Marie ! –. Et quel coup de langue !
    — Écoutez-moi cette jeunesse ! Elle n’y connaît rien et se permet de donner son avis, rit Maîtresse Andréa. Mais tu as raison, ma puce. En outre, elle serait charmante si elle était mieux faite.
    
    Compliments et critiques désagréables, elles soufflent le chaud et le froid. Je me retrouve étudiante devant un jury d’examen – cette impression d’être mise à nu. Mais au fait, je le suis déjà ! – et la dernière remarque, vexante, émise par celle à qui je n’ai rien à envier, me renvoie à mon physique banal. J’en pleurerais, mais d’un autre côté l’appréciation de mes talents dans la ...