1. Jouissances et soumission


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fdanus, fouetfesse, orties, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    La séance dans la douche a été un moment merveilleux. Quel délice de me livrer aux mains mousseuses de Marie ! J’ai oublié toutes les avanies qu’elle m’a fait subir. Si Anaïs a un peu hésité avant de s’occuper de mon dos, elle s’y est ensuite consacrée avec entrain, ne négligeant rien, des épaules aux cuisses en passant par les fesses. Marie faisait de même sur ma partie face, enveloppant mes seins et mes tétons de bulles délassantes avant d’en enduire largement mon ventre et mon pubis.
    
    Ses frictions sont devenues caresses en passant sur ma chatte malmenée par ses soins il y a quelques minutes. Son onction de crème à l’huile d’olive a été une telle bénédiction pour mes lèvres endolories que j’ai réclamé qu’elle aille plus loin, plus profond. La douche vaginale au Savon de Marseille a chassé les dernières séquelles de mon premier fist avec une efficacité qui m’a poussée à prier Anaïs d’en user aussi pour mon anus. Double bonheur ! J’étais une Reine s’abandonnant à ses suivantes.
    
    Je les ai lavées à leur tour, mes deux jeunes servantes. Anaïs a rougi quand j’ai savonné ses petits seins pointus, mais entraînée par l’exemple de Marie, elle s’est détendue. Des seins, nous sommes passées aux fesses, puis des fesses aux craquettes, et des craquettes aux rosettes. Trouble et plaisir aidant, nous riions comme des folles en nous rinçant l’une l’autre, nous riions en nous essuyant, nous riions en sortant de la salle de bain, et nous riions ...
    ... encore quand Anaïs est allée rejoindre Colette.
    
    Nous rions toujours en nous couchant, Marie et moi. Nos compagnes de chambre rient de nous voir rire, Janine et Andréa enlacées sur un grand lit, Martine et Bénédicte serrées sur un petit. Elles ne nous quittent pas des yeux. Je sais ce qu’elles attendent. Marie le sait aussi, elle s’allonge. Je l’embrasse. Des accès de gaieté séparent par moments nos bouches, jusqu’à ce que, peu à peu, la tendresse nous gagne et nous calme.
    
    Ma pulpeuse Marie va se laisser croquer devant quatre paires d’yeux attendris et pervers. Pour la première fois, je crois, elle fera l’amour en se voyant observée, scrutée, détaillée, par des femmes qui devineront tout ce qu’elle ressentira et seront tenaillées par l’envie de partager son plaisir. Plus d’excuse de s’être exhibée involontairement, elle en est consciente, je le lis dans le regard qu’elle lève sur moi. Je retiens ma main prête à la caresser. Je brûle de le faire, mais je ne veux en rien l’obliger. C’est elle qui me tend les bras.
    
    Nos lèvres se reprennent et nos peaux nues s’épousent. De peur de l’écraser, je me tiens sur mes coudes pour lui baiser le cou, la gorge, les épaules. Je lèche ses aisselles, je lèche ses tétons. Je mordille, je gobe, et je tète ces fraises qui couronnent ses seins. Je bécote ses flancs, je bécote son ventre, titille son nombril, remonte entre ses globes. Je retrouve sa bouche, la bois, et recommence à parcourir son buste par ses monts et ses vaux, sans toucher son ...
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