Jouissances et soumission
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
orties,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... tribulations de sa chérie l’attristent me réchauffe le cœur tandis que je la vois se renverser en remontant les genoux.
Pauvre choute ! C’est moi au contraire qui ai pitié d’elle à la vue des deux ou trois méchantes feuilles qui dépassent de son petit trou. Un petit cadeau de ses monitrices pour lui rappeler de mettre plus de vigueur quand on a un chat à fouetter, sans doute. Je me souviens de son cri, tout à l’heure. Depuis, elle endure sans se plaindre ce suppositoire urticant. Dans le con pour moi, dans le cul pour elle, les Maîtresses ont le souci de l’équité !
Je le lui retire du bout des dents, ce bouchon démangeant. Oh mon dieu ! Son petit œillet est tout rehaussé de minuscules cloques. Je les lèche doucement pour soulager le feu du prurit avant de rincer la craquette. Il n’y a guère que quelques gouttes qui polluent encore la fissure des longues nymphes. Un souvenir plus qu’un reste de pipi inodore et à peine salé. Je l’ai tellement lavée, la nuit dernière, cette fente, qu’aucune once de cyprine n’en a réchappée ! Elle est propre comme un sou neuf.
Si, quand même, un ton de mangue fraîche m’enchante les papilles. Une mouille nouvelle qu’a réveillée ma langue et qui va me servir à parfaire mes soins sur la frêle muqueuse que l’ortie a lésée. En servante attentive, amante dévouée, j’échange feuille verte contre feuille de rose. Les soupirs que j’entends encouragent ma bouche. Ce n’est plus sur les bords que je passe et repasse, mais c’est dans le conduit, au ...
... centre du cratère, que je pointe et m’efforce d’entrer pour apaiser enfin le fourreau irrité.
Voilà, c’est fait. Son troufignon pansé, ma Maîtresse Marie a détendu ses traits. Son visage a repris les couleurs de son âge et son regard noisette est plein de gratitude. De son cul, de sa chatte, je peux me détacher sans rougir de ma tâche, fière de mon succès. Son plaisir vaut pour moi tous les mercis du monde. Elle se lève, esquisse un geste. Va-t-elle m’embrasser ?
— Viens vite prendre ton petit-déjeuner, ma puce !
Douche froide pour l’espoir et mon esprit rêveur. L’objet de ma tendre affection s’empresse de rejoindre la table des Maîtresses qui devisent et plaisantent. Je suis seule, et je reprends ma pose de soumise docile. Seule… pas tout à fait, pourtant. Un arôme léger, mais bien identifiable, de sueur et de rut parfume mes narines de fragrances marines où se devinent encore des effluves de pêche – oui, je sais, j’ai du nez – et cette senteur-là, que je ne connais pas, il n’y a qu’une à mon sens qui puisse l’exhaler.
Anaïs, en effet, est debout près de moi. Descendue la dernière, elle a paré son corps d’un châle qui, pour pudique qu’il soit, ne contient pas l’aura subtile qu’elle diffuse. Ses yeux, bordés de reconnaissance comme on l’écrit dans les mauvais romans, conservent la surprise qui les a agrandis en voyant mes pratiques. J’aimerais lui sourire, lui dire un petit mot qui la rassurerait, mais en ai-je le droit ? Nous restons donc figées l’une et l’autre, ...