Jouissances et soumission
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
orties,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pubis ni descendre plus bas.
Mon visage est sur elle, et mon cul exposé à qui voudra le voir. Sans honte ni vergogne, j’exhibe mes deux trous en couvrant de salive le corps de mon amante. Ses plaintes de plaisir me ravissent et m’excitent. Ses pupilles soudain s’agrandissent, et je sens les mouvements du lit et sur mes fesses un souffle. Je suspends un instant mes bécots et je tourne la tête sur ma droite où Janine à genoux et Andréa contre elle observent les progrès du plaisir chez Marie. Derrière moi, Martine et Bénédicte, une jambe chacune, la massent tendrement des mollets aux orteils.
Une main, de qui, je ne sais, me caresse le dos. Une autre pèse doucement sur ma nuque et m’invite à reprendre ma tétée amoureuse. Les seins de ma Marie sont gonflés à présent. Ils durcissent si bien que ma bouche ne peut sucer ou aspirer leurs mamelons tendus. Tétons gorgés de sang, aréoles incarnates, je léchouille les uns, je mordille les autres. De la dent je tourmente, de la langue j’apaise. Les deux suscitent plaintes et soupirs de bonheur. Il est temps d’aller rendre visite à la craquette.
Marie a saisi d’une main une main de Janine. Je ramène les deux sur un sein délaissé. Je quémande un accord et j’obtiens un sourire. Marie a montré d’elle-même l’endroit où la pincer, ses fraises turgescentes que je viens de quitter. Janine s’en émeut : il lui faut ses dix doigts et cinq sont déjà pris par sa propre minette. Andréa, bonne fille, se porte volontaire. Elle enjambe Marie, ...
... au-dessus de sa tête, pour mieux prêter la main à sa bonne commère. Les tétons sont enfin traités comme il se doit. Je peux me consacrer sans crainte à la minette.
La place est chaude et douce, enivrante. Elle est comme un fruit mûr qui laisse fuir son jus. Une mouille de mangue, légère et abondante, que je lèche d’abord sur les replis dodus des lèvres entrouvertes et des nymphes allongées. Ma langue rapide va et vient, et mon nez, tour à tour, s’enfouit dans la toison humide, ou heurte un capuchon enflammé et languide. Je ne désire pas, ici, m’en occuper. Je préfère qu’il gonfle, et livre le bourgeon qu’il cache, dénudé. C’est dans la chair du fruit que je veux déguster la cyprine attirante qui en sourd sans arrêt.
Mais soudain je sursaute, me sentant agressée par une douce langue nichée dans mon œillet. Je ne vois que Martine ou Béné qui puisse s’arroger autant de privautés. Je ne vais pas me plaindre ! Au contraire, je tends plutôt mon cul à la bouche vorace sans détacher la mienne du sexe de Marie. La vulve épanouie que je gougnotte bave un sirop délicieux au doux parfum d’agave… – je m’égare ! – Enfin, c’est exotique, et troublant de l’avoir jusque-là ignoré. Pour la première fois que je la mange propre, cette chatte, ni la transpiration ni les macérations ni le sel n’en ont changé le goût.
Une révélation que Manon a peut-être découverte avant moi, me dis-je, repoussant aussitôt la jalousie qui pointe. Je ne vais pas être jalouse de ma fille ! Surtout quand, devant ...