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Quelques moments de bonheur
Datte: 26/05/2025, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, fsoumise, Oral fsodo, mélo, portrait, regrets, Auteur: Abdul, Source: Revebebe
... m’être laissée aller de la sorte, mais je ne regrettai nullement le plaisir que venait de me procurer Mario. Il comprit qu’il n’obtiendrait rien de plus de ma part ce jour-là et il se leva sans un mot avant de se diriger vers la porte de la maison. La semaine suivante, j’attendais Mario dans ma robe neuve que j’avais pris le soin de cacher afin que mon mari ne puisse pas la découvrir. Cette fois-là, le vendeur de primeurs déposa son cageot sur la table de la cuisine et il m’emmena aussitôt reprendre ma place sur le canapé. Ma chatte attendait avec impatience que la langue et les doigts de Mario débutent leur exploration délicieuse. Pour faciliter la tâche de mon amant, je n’avais pas mis de culotte et sa caresse fut aussi réussie que la première. Mais bien sûr, ce jour-là, je ne le laissai pas partir avant de lui rendre la pareille. La découverte de sa belle queue semblable à un gros champignon surmontée d’une imposante tête violacée me surprit et me remplit d’aise. Comme je devais sucer quasi quotidiennement mon mari, je n’eus guère de mal à apprivoiser le nouveau membre noueux qui investissait ma bouche. Le sperme de Mario était abondant et je m’en délectai longuement après qu’il eut joui entre mes lèvres. Apaisé par ma fellation, mon amant referma son pantalon et m’embrassa sur le front avant de retourner à sa camionnette. Notre première étreinte se produisit la troisième semaine. L’orgasme que Mario m’avait procuré avec sa langue m’avait quelque peu laissée ...
... sur ma faim. Il le comprit et il extirpa son sexe tout raide avant de soulever mes cuisses et de positionner son gros gland mafflu à l’entrée de ma vulve. Il y avait plus de dix-huit mois qu’aucun corps étranger ne l’avait investie, et Mario qui me fixait, espérant impatiemment un signe favorable de ma part, avait bien saisi mon appréhension. Lorsque je fermai les yeux, il prit acte de mon abandon et il me pénétra lentement, laissant le temps au sentiment de plénitude qui venait de me gagner de s’emparer de tous mes sens. Je ne pus m’empêcher de pleurer de bonheur lorsque son pieu commença à coulisser en moi. Les terminaisons nerveuses de mon vagin étaient si sensibles que l’orgasme fut presque instantané. Je jouissais en continu et mes gémissements ininterrompus en étaient la preuve manifeste. Lorsque Mario explosa en moi, je l’étreignis longuement entre mes bras. Des larmes de bonheur coulaient de mes yeux si secs depuis tant de mois. J’aurais voulu que ce moment ne se terminât jamais. Les semaines suivantes, nos étreintes furent passionnées. J’attendais avec impatience la visite de Mario qui allait m’offrir cette parenthèse de bonheur hebdomadaire dont j’avais été privée toute mon existence. Nous nous aimions désormais dans le lit que je partageais chaque nuit avec mon époux. La chambre située au rez-de-chaussée me permettait d’installer le parc de Josette à proximité de notre lieu d’ébats. Un mois et demi après notre première étreinte, je fus gagnée par une ...