1. Quelques moments de bonheur


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, fsoumise, Oral fsodo, mélo, portrait, regrets, Auteur: Abdul, Source: Revebebe

    ... ma porte, le vendeur de primeurs marqua un temps d’arrêt.
    
    — Entrez ! lui dis-je en prenant le panier de fruits et légumes qu’il m’avait préparé.
    — Je vois que tu as fini par dépenser l’argent que je t’ai fait économiser. Tu as bien fait. Tu es vraiment très jolie avec cette robe.
    
    Les paroles de Mario me gênèrent bien sûr, mais elles m’emplirent aussi de bonheur. Aussi loin que je pus me souvenir à ce moment-là, personne ne m’avait jamais dit que j’étais jolie, pas même ma mère. En tout cas, je ne me le rappelais pas. Je voyais bien que j’avais du mal à cacher mon trouble.
    
    — Voulez-vous un café ?
    — Bien sûr, mais à condition que tu arrêtes de me vouvoyer. Depuis le temps qu’on se connaît, ça commence à me faire bizarre.
    — Je vais essayer, ai-je répondu simplement.
    
    Mario me suivit dans la cuisine où il s’installa sur une chaise pendant que je mettais un filtre neuf et deux doses d’arabica dans la vieille cafetière. Josette assise dans son parc me regardait faire en gazouillant. Lorsque l’eau eut fini de s’écouler, je servis les tasses regardant pensivement à travers la fenêtre. J’entendis la chaise crisser sur le parquet et quelques secondes plus tard, je sentis le souffle chaud de Mario sur ma nuque.
    
    J’étais comme tétanisée. Incapable de la moindre réaction, je le laissai poser sa main sur ma taille et soulever mes cheveux avant de déposer un baiser dans mon cou. De délicieux frissons se mirent à irradier le bas de mes reins. Lentement, il posa ses mains sur ...
    ... mes seins pour les masser avec douceur.
    
    J’étais gagnée par une chair de poule incontrôlable. Mes tétons étaient si durs qu’ils me faisaient mal.
    
    Josette s’était tue comme si elle n’avait pas souhaité perturber l’événement qui était en train de se dérouler à quelques pas d’elle.
    
    Mario prit ma main et il m’emmena dans le petit salon. Avec des gestes tendres, il m’installa sur le canapé. Il s’agenouilla à mes pieds et souleva ma robe. Puis il déplaça le triangle de mon slip sur le côté avant de plonger sa tête entre mes cuisses. Sa langue se mit à explorer les multiples recoins de mon sexe. Jamais Richard ne m’avait prodigué une telle caresse. La surprise passée, je me laissai emporter par une vague de délices inconnus. Tout en maintenant mon slip écarté de la main gauche, Mario jouait de sa langue comme d’un archet qu’il faisait vibrer alternativement sur mon bouton gonflé et mes lèvres rougies par le désir. Parfois, les doigts de mon visiteur s’immisçaient délicatement dans mes chairs m’arrachant de petits gémissements satisfaits. Soudain, mon souffle se figea. Une onde de plaisir venait de naître au plus profond de mon intimité et je serrai les cuisses lorsque l’orgasme me submergea. Mario attendit sans bouger que mes muscles se détendent et que je libère sa tête. Lorsqu’il s’extirpa de sa cachette, il me découvrit les yeux embués de larmes de bonheur et il vint s’asseoir près de moi et étreignit mon visage avant de le poser sur son torse.
    
    J’avais un peu honte de ...
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